Après tant de temps passé loin de mon journal il est peut-être temps de faire le point avant de s'y remettre et clarifier la situation.
Mon journal avait été commencé à un moment compliqué dans ma vie, beaucoup de difficulté en cours.
J'avais fait confiance aux mauvaises personnes et j'ai du coup passé la majorité de l'année seul à chercher un nouveau groupe de travail alors que tous les groupes était déjà constitués.
A côté de ça ma copine : Addict aux jeux videos, plus de vie sexuel, aucune attention de sa part, un appart en bordel pas possible.
Avec mes horaires je rentrais souvent tard le soir et avais très peu de temps pour ranger, surtout qu'en plus je devais la majorité du temps faire à bouffer car ma copine restait le cul vissé sur son siège à jouer aux jeux vidéo.
Du coup je cherchais le réconfort sur FTS et auprès d'autres filles comme le montre mon journal.
J'ai fini par craquer au bout d'un moment, l'année scolaire étant difficile j'attendais un minimum de soutient de cette LTR, que je ne trouvais plus du tout.
Je suis rentré chez mes parents et j'ai passé plusieurs mois la bas avant qu'elle ne reviennent vers moi en pleurant et s'excusant et me promettant de mieux faire.
J'ai accepté...en un sens c'était ce qui se présentait de plus simple pour moi. Retourner avec quelqu'un que je connaissais déjà et surtout être à 15 mn de mon école contre 2h chez mes parents.
Aux début j'ai pu constater ses efforts, puis assez vite tout est retombé.
Jj'ai commencé à avoir un peu plus de temps en dehors des cours grâce nottament à de nouvelles connaissances, un nouveau groupe de travail.
J'ai donc pu consacré un peu plus de temps à l'entretien de l'appartement. Me disant que passer plus de temps à faire gaffe à cela pourrait aider dans ma relation.
C'est naif tout ça, le problème n'était vraiment pas là.
A l'heure actuelle je ne sais pas plus quel est le problème, j'ai bien des théories mais rien de concret.
Moi toujours étudiants, sans un sous, elle dans la vie active depuis un moment.
Peut-être qu'elle se trouvait freiner par moi. Pourtant je ne suis pas du genre à empêcher les gens de faire quoi que se soit, au contraire je l'ai toujours encouragé à faire des choses sans moi parce que je manquais souvent de temps et surtout d'argents.
Peut-être que nos désirs n'était plus les même. Effectivement mes désirs premiers sont d'en terminer avec les études et la vie de famille passe après pour moi, mais je n'ai jamais pour autant négliger ma vie affective ni même mes projets de couples, ces derniers était juste assez souvent mis à mal par mon manque d'argents.
Finir tous les mois dans le rouge alors que je ne m'autorisais aucun loisir rend difficile l'idée de réussir à mettre en place des projets de voyages ou de sorties.
Peut-être que notre incompatibilité sexuel était trop éttoufante.
Ces désirs sexuel étaient plus que réduit, aucune imagination sexuelle, moi qui aime être spontané c'était carrément impossible du fait de son manque de libido.
Tout cela dû au fait qu'elle souffrait d'une pathologie rendant les rapports sexuel douloureux. Manque de bol je met du XL ça aide pas..
Entreprendre chaque rapport avec un anésthésiant en guise de lubrifiant, ça vend du rêve.
Pourtant de mon côté j'acceptais ce problème et l'encourageais dans son traitement.
Mais au bout d'un moment, elle à juste fini par baisser les bras et cessa tout effort à ce niveau la.
Finalement le problème c'était certainement un mélange de tout cela et de tant d'autres choses.
Bref après moins d'un an, je retourne de nouveau chez mes parents, mais cette fois ci pas question de me remettre avec elle.
Je ne tiens plus à l'avoir dans ma vie affective, elle m'a prouvé plus d'une fois combien elle n'était pas stable.
Cette fois ci j'écouterais ma raison plutôt que mes sentiments.
Ce
chapitre clôt, autant en commencer un nouveau.
A new Beginning :
Aujourd'hui mes objectifs n'ont pas tellement changé:
Mens sana in corpore sano.
c'est plutôt vague me direz vous.
Les deux années les plus difficile de mon cursus sont derrière moi, j'ai enfin un peu plus de temps pour mes projets personnels.
Concernant mon taff, cela va surtout passer par l'apprentissage de nouveaux langages et la création de projets qui me tiennent à coeur.
Mais y'a pas que le taff qui me définit, j'ai jamais vraiment eu l'occasion de voyager... et je ne rêve que de ça.
Heureusement une année à l'étranger s'impose dans le cadre de mon cursus \o/
Mais avant ça j'ai décidé d'aller à londres, je n'y suis jamais allé et j'ai toujours eu envie de voir l'angleterre.
Seulement y aller en train, ça a pas beaucoup d'interêt, c'est un voyage que je veux, de l'aventure.
Du coup faut que j'y aille en vélo, via la voie verte qui relie paris à londres, par contre ça prend du temps et je l'ai pas encore. (pas de vacances avant...est ce que je vais avoir des vacances au moins avant de partir à l'étranger!?

)
Il est d'abord peut être temps que je commence à faire plus attention à ma santé et surtout à mon physique, en particulier avec cette idée de voyage en tête.
j'ai enfin pris rendez vous avec un coach et suis parti pour un programme de 8 semaines.
J'ai eu l'occasion de tester les machines, ce coach veut me tuer c'est pas possible!
Rien que le fait de tester les machines m'a laisser avec les guiboles tremblotantes. J'ai la peau sur les os, pas un muscle ça va être l'horreur, au moins certainement les premières semaines, mais faut que je tienne!
Que j'apprenne au moins à me prendre en main physiquement pour qu'une fois à l'étranger je puisse le faire seul sans coach.
Enfin, parce que on est quand même sur FTS faut que j'apprenne à être plus sociable, plus ouvert aux autres et que j'arrête de mettre autant de barrière, que j'accepte mes sentiments plutôt que de les refouler et surtout que je sache enfin parler de moi sans crainte.
Par rapport à ça j'ai récemment eu un cours un peu spécial pour mon cursus dans lequel je me suis retrouvé à devoir faire des impro. J'ai été plutôt bon dans l'exercice.
Quand il s'agit d'être quelqu'un d'autre, pas de soucis. Je contrôle ma voix, mon corps, ma diction de façons plutôt efficace.
Cependant le second excercices à été d'une toute autre difficulté, parler de soi... la cata à peine assis sur ma chaise, avec tout le monde qui me regarde.
Perte de contrôle totale!
Un peu comme une expériences de sortie de corps, je ne contrôle plus rien, ma voix se barre en couille, ma diction est trop rapide, je mange mes mots, mon coeur bat la chamade et mes paroles ne sont pas en accords avec mes pensés.
Je me met alors à penser à 100 à l'heure, et mes paroles n'arrivent plus à suivre le fil de mes pensé, je me perd totalement.
L'horreur! En tout cas en moi... pour les autres je paraissait totalement à l'aise...
Je déteste ce moment la, mon corps me trahi, ne m'obéit plus et impossible de reprendre la main dessus avant que l'exercice ne soit fini...
C'est très étrange comme sensation, et j'ai du mal à combattre ce problème.
Heureusement l'expérience précédente est assez rare, ça n'est pas tout le temps aussi extrême comme réaction.
Du coup je pense qu'il faut que je fasse de ça mon objectif premier.
Mais encore une fois je ne sais pas tellement sous quel angle abordé le problème.
Le théâtre et l'improvisation n'ont jamais règle cela car il s'agit rarement d'être soi même lorsque l'on joue un rôle.
Forcément on insuffle toujours un peu de soi dans les personnage incarné mais on est jamais entièrement soi même.
Enfin, je suis de retour chez mes parents et bordel c'est pas la joie, que ce soit mon frère, ma mère ou mon père, tous ont une tendance à la dépression...
Mon père le cache pourtant bien, mais ça se voit qu'il ne rêve que de se tirer, Malheureusement mes études coute cher et ces rêves passent après les miens, c'est d'un triste de devoir se sacrifier comme cela, tout ce que je peux faire c'est de finir mes études afin de pouvoir commencer à rembourser mes crédits.
Bien évidement ma mère ressent tout cela et malheureusement elle est plus du genre à se morfondre et geindre plutôt que de se battre... Bref vous imaginez l'ambiance
Ajoutez à cela que j'habite en banlieue, une de celle que l'ont voit dans les journaux...Jamais pour de bonne raison bien sur.
Sortir sur paris est d'un compliqué, tout doit être prévu à l'avance, très peu de place pour la spontanéité et bordel ça me tue, j'aime pouvoir sortir de chez moi sur un coup de tête et décidé d'aller m'amuser... oui mais où? faut monter sur paris bien sur et sans voiture c'est pas évident.
C'est pire que cendrillons! J'ai même pas la permission de minuit avec le RER.
Passé 22h sur paris, il est temps que je fasse mes affaires et prenne le chemin du retour.
Du coup faut réellement que je me fasse des amis du côté de chez moi histoire au moins de pouvoir sortir le soir.
J'ai bien tenté de chercher des activités, mais c'est assez limité finalement, beaucoup sont surtout destinées aux collégiens.
Reste le sport, mais j'ai déjà commencer un programme bien charger auquel j'aimerais pouvoir me tenir.
Bref, c'est la galère, faut composer avec, y'a des hauts et des bas, l'important c'est de toujours se relever, j'ai réussi jusque la à le faire, pas toujours efficacement mais hey j'suis toujours vivant et j'compte bien en profiter!
Si y'a bien une chose que je sais, c'est que jusqu'à maintenant j'ai fait preuve d'un mental d'acier malgré toutes les épreuves que j'ai pu endurer et c'est pas près de s'arrêter.
Va falloir que je me calme sur les pavés moi! Promis après ce topic je me calme.
Surtout que j'ai pas la plus belle des plumes, c'est pas évident à lire mais c'est en forgeant que l'on devient forgeront
