Fin Juillet:
Festival: plusieurs festivals plus tard, j'aime cette ambiance, le fait de recroiser des gens vus ailleurs, la plutôt très bonne ambiance. J'ai fait du bénévolat dans un festival aussi. J'ai pas tellement profité des concerts mais c'était cool quand même.
Etat mental: Ca roule depuis plus de 6 mois maintenant, rien à redire. C'est incroyable à quelle point une unique molécule peut changer la vie et la personnalité, car je suis plus sociable.
Les femmes:
J'ai arrêté avec l'indienne avant de la rencontrer. Sa relation avec sa famille, le côté religieuse pratiquante et la nouveauté de son installation en Europe ont fait que.
Sinon début juillet a été un mois très intéressant avec les femmes.
J'ai recontacté O pour prendre de ses nouvelles et elle souffrait de la chaleur dans son appart sous les combles. Donc je lui ai gentiment proposé de venir chez moi pour la soirée. Elle est arrivée en robe, une tempête s'est levée, et avec les nuages et l'ombre, d'un coup, être dehors était devenu supportable. On a commencé à se déshabiller au milieu du jardin, je l'ai fait jouir avec mes doigts et ma langue mais j'avais pas de capote. On est rentré pour prendre une capote et j'ai commencé à la prendre puis il s'est mis à pleuvoir dehors. Alors on s'est allongé dans l'herbe et elle m'a fini sous la pluie. C'est l'un des meilleurs rapports de ces dernières années, peut-être de toujours. Magique!
J'ai eu aussi un rencard avec une femme espagnole que j'ai matché via les applis. Physiquement, elle ne me plaît pas mais je lui plais et elle m'excite quand même. Pendant le rencard, elle m'explique sa vision BDSM (pour moi extrême) de la sexualité, pas d'orgasme si pas beaucoup de douleurs et une extrême soumission, le sexe vanille ne lui procure aucune émotion. C'est pas ma vision des choses mais c'était cool de lui parler. Elle m'a aussi expliqué la relation qu'elle a avec son "maître" qui fait tout ce qu'il veut avec elle et vit dans une villa avec plusieurs "esclaves". Et aussi la communauté/famille polyamoureuse qu'elle a, qui mélange soutien moral et orgie, virtuelle ou pas. Pas de deuxième date mais elle m'a envoyé plusieurs nudes et vidéos... c'était pas inintéressant.
J'ai discuté avec une française qui vivait à une heure trente de là. Elle répondait mais semblait peu enthousiaste, posait très peu de questions. Je lui avait proposé un rdv à 1h de chez moi et elle avait accepté. Mais finalement, j'ai annulé avant le rdv, car elle avait l'air peu investi et de moins en moins compatible.
J'ai aussi eu de belles promesses ces 2 dernières semaines:
- Un premier rencard avec une femme africaine depuis 4 mois dans la région. La conversation se passe bien c'est très intéressant de discuter avec elle, des coutumes de son pays... Mais elle n'a qu'une très faible curiosité (elle est au chômage, vit à 3 arrêts de bus du centre ville et n'y a jamais mis les pieds en 4 mois... Elle ne savait même pas qu'il existait!), elle semble traverser la vie de manière super passive... Et elle est extrêmement lente dans sa démarche! Juste pour ça, j'aurais du mal... Elle m'a dit que j'étais le premier blanc à qui elle a vraiment parlé (après 4 ans à vivre en France, en faisant des études à l'université... Je trouve ça chaud quand même), et le premier non africain et non noir avec qui elle a eu un rencard. Elle avait envie que ça aille plus loin. Moi pas.
- J'ai matché avec une femme française avec laquelle j'avais matché il y a deux ans. Appelons la Red. On avait bien discuté mais elle était en plein dans ses exams et c'était tombé à l'eau car elle n'avait pas le temps pour un rdv. Cette fois on a eu notre premier rdv. Elle est belle, un beau visage, un corps et des formes de rêve (loin d'être parfait, mais je signe tout de suite pour ne plus que voir ce corps là toute ma vie)... Mais elle critique tout tout le temps. Elle est aussi altruiste, c'est sincèrement une bonne personne qui consacre son temps dans des associations caritatives, mais elle se trouve meilleure que le reste du monde, parle des gens dans la rue comme de la "plèbe" (la demoiselle n'a pourtant pas fait de hautes études, n'a pas un bon job, ni d'argent, ni une famille aisée, ni une culture ou une intelligence incroyable) et critique allègrement son chef, ses collègues, les arabes, le barman alors qu'il est à un mêtre de nous, et tous les gens qui passent autour... Elle cherche du sérieux et me dit qu'elle s'attache très rapidement. Je lui dit après le premier rencard que je suis très attiré par elle mais que je n'arrive pas à voir un futur avec elle. Elle s'excuse, me dit que la journée du premier rencard, elle était stressée et que ça avait été une journée très difficile. Elle me propose un deuxième rencard, j'accepte sans être convaincu, on se met à se chauffer par message, et ça fait plaisir de voir une belle femme qui a envie de moi. Le rdv est légèrement moins négatif que le premier, c'était même plutôt agréable si on oublie ses remarques sur tous les gens qui passent dans la rue. Bref, c'est quand même pas possible. Je la trouve quand même sacrément belle et désirable, on se sert dans les bras à la fin et le contact physique la fait réagir, c'est tentant. Je lui dit que ça n'ira pas plus loin, elle me propose un troisième rdv, me dit qu'elle est déjà super attaché à moi, je décline, elle repropose un 3ème rdv plus tard par message. J'avais envie d'y aller, juste parce que je voulais voir et jouer avec son corps... Mais je ne l'ai pas fait.
- mon dernier déplacement en Europe pour le travail m'a amené à matcher avec quelques femmes (dont un canon! Wow!). mais la femme avec laquelle une discussion s'est développée est une Allemande, avec de belles valeurs, similaires au miennes, qui aime discuter, est ouverte d'esprit. Mais elle n'a eu qu'une relation entre 18 et 19 ans, traumatique, avec un gars qui avait après la sexualité en regardant du rape porn. Depuis elle n'a eu aucun contact physique ou émotionnel avec un homme en 10 ans et a connu une phase dépressive suicidaire. On a beaucoup discuté, ça matchait pas mal, j'aurais pu imaginer la rencontrer, c'est con à dire mais elle voulait explorer, se découvrir et découvrir une vraie relation, la communication à deux, une vraie sexualité avec une personne de confiance dans une relation longue. L'idée peut me tenter et même me plaire (complexe du sauveur et elle avait l'air très ouverte d'esprit aussi) mais c'était compliqué, elle s'attachait alors qu'on n'allait pas se voir dans le mois qui suit, j'avais des doutes sur sa stabilité mentale future aussi... et aussi car...
- j'ai rencontré M. Elle m'a liké sur une appli et j'ai matché sans le vouloir. Elle fume régulièrement et normalement c'est non pour moi. Mais si je match, j'essaye de voir ce qu'il y a derrière. Elle est directement impliquée par messages, on a plusieurs points communs similaires, on rigole par messages et on planifie un date dans la foulée. Elle me dit qu'elle a max 2 heures et au final elle reste plus de 3h. On continue à parler, beaucoup beaucoup, et ça commence à flirter grave. Par message, c'est clair que je lui plais physiquement, elle me complimente!
On prévoit un rdv pour aujourd'hui (jeudi) et finalement elle me dit lundi à 18h qu'elle est "par hasard" a 5km de chez moi (elle savait déjà où j'habite) et je lui propose donc de passer pour l'apéro. Elle restera 5h. Il y a une tension sexuelle énorme, elle n'a pas accepté que je l'embrasse, pas parce qu'elle n'en a pas envie mais car elle n'aurait pas pu se contrôler ensuite. Et elle veut attendre un peu plus avant qu'il se passe un truc sexuel, pour ne pas être aveuglée par les hormones. Je respecte mais elle revient 2-3 fois se serrer contre mois avant de partir.
Mais les hormones la travaille. Elle m'envoie des nudes le lendemain, comme ça, j'ai rien demandé, et putain. Elle a un corps magnifique à se damner. On parle de cul toute la journée. On doit se voir le lendemain et on est chaud patate, on a l'air d'être super compatible au pieux vu ce qu'on a discuté.
Mais jeudi soir approche et elle m'annonce qu'elle devra rentrer direct après le resto prévu car une amie est dans une situation compliquée. Puis une heure avant, elle annule le resto aussi car elle a encore du travail. Et on ne se verra pas avant lundi car je pars en week end demain.
Je ne lui en veux pas de privilégier son amie en grande difficulté émotionnelle vue la situation. Pour le taf, ça m'ennuie un peu plus. Et une part en moi se demande si c'est réel, si elle m'allume car elle aime le jeu (et dans ce cas pourquoi pas) ou si c'est juste une allumeuse qui souhaite un peu d'attention.
Mon dilemme face à M
Je veux aller plus loin, j'ai envie d'elle comme pas possible, je la trouve sexy et canon et ça a l'air partagé on cherche tous les deux une relation longue, mais certains trucs me dérangent. Donc voici la liste des éléments positifs et négatifs:
+++ on a des valeurs similaires, on souhaite vivre proche de la nature, elle aime les animaux, on n'est pas matérialiste
+++ elle est curieuse, intelligente, travailleuse, indépendante et a réussi à sortir de l'environnement précaire ou elle a grandi
+ elle ne se laisse pas faire, elle est courageuse, elle de belles ambitions
+++ elle est canon, tactile, joueuse, pas timide et on a l'air plutôt compatible sur ce qu'on aime et recherche
+++ elle a de l'humour
++ elle est altruiste
+ on a des goûts similaires niveau loisirs (à part pour les voyages)
+ elle aime les tâches ménagères
+++ elle souhaite avoir des enfants
+/- elle est financièrement indépendante mais brûle son cash et n'économise pas
- elle est plus impulsive que réfléchie
-- elle fume régulièrement
-- elle boit fréquemment (ancienne pilier de bar qui boit socialement, mais ça veut dire 4-5 jours par semaine)
- elle a un côté raciste, c'est pas extrême, mais ça me gène un peu
-- elle est très maniaque en terme de propreté: aspirateur et ménage tous les jours
--- "mes animaux passeront toujours avant mon homme". Elle a toujours un crédit à rembourser issu de l'achat d'un animal il y a 10 ans, a versé 4000€ en un mois l'année dernière pour soigner un de ses chats
--- elle vit aussi pour son travail: elle fait beaucoup plus que ses heures, reçoit et répond à des appels pro tous les jours, y compris les week ends et en vacances, même à l'étranger. par exemple, elle répond direct si son patron l'appelle à 20h pendant un date.
Réflexion d'une amie
J'en ai parlé à une amie qui me dit que je suis trop rationnel. Que je devrais foncer, profiter de ce crush mutuel et voir plus tard si ça marche. Je pense qu'elle n'a pas tout à fait tort. En même temps je ne suis pas du tout convaincu que ça va marcher... Et ça me donne une certaine culpabilité!
C'était la même chose avec Red en fait. Les rencards n'étaient pas insupportables, j'aurais pu aller plus loin, elle en avait envie. Mais elles me disent ne chercher uniquement une relation longue et je ne sais pas si ça va le faire (ou dans le cas de Red, je suis à 90% sûr que ça ne le fera pas)
Des fois je me demande si je ne suis pas trop con à essayer de ne pas blesser les autres comme ça
Podcast sur la sexualité Le Monde
j'ai écouté un podcast du monde qui explique la baisse du nombre de rapport sexuel en disant que les femmes se forcent moins (c'est bien) et que en fait, un rapport sexuel pour beaucoup de monde, c'est une pénétration, du coup le nombre de rapport de baisse pas vraiment car il y une plus grande diversité de pratique.
je ne sais pas pourquoi, entendre ça m'a attristé. J'ai regardé les données de l'Ifop sur lesquelles ce podcast se base. C'est pas du tout ce que ça dit, ou alors à la marge. Par contre on peut y voir que certaines tranches de la population ont plus rarement des rapports sexuels, que les gens ayant moins de rapports sexuels sont moins satisfaits de leur vie sexuelle et que chez les hommes, une bonne partie des hommes n'ayant pas de rapport donne comme raison que c'est car personne ne souhaite en avoir avec eux, qu'ils ne se trouvent pas désirables.
C'est quand même pas compliquer de remarquer que depuis que les applis de rencontre représente un moyen de rencontre privilégié, une partie de la population est plutôt exclu du système...
Je sais que le monde serait vent debout contre une étude qui dirait qu'il n'y a pas besoin de s'inquiéter du niveau de vie des Français, car le PIB augmente donc les Français sont plus riches en moyenne, qu'ils étudieraient la médiane, les différents déciles, pour mettre en avant les inégalités... Pourquoi ce n'est pas le cas là...
Note positive
Pour finir sur une note positive. Je sors d'un certain nombre de rdv où je suis celui qui choisit de ne pas aller plus loin, où j'ai l'impression de plaire. Ça fait plaisir! Ça n'ira peut-être pas tout de suite quelque part mais c'est positif.
Je ne sais juste pas de quoi ça vient. De la molécule qui change ma vie depuis 6 mois. Ou de ma barbe mal taillée qui s'approche doucement de celle d'un bûcheron canadien, qui reçoit les compliments de mes collègues masculins et les conseils de la raser des femmes de ma famille
Esope: la quête!
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+2] Like ! le 24.07.25, 14h06 par Jalapeno
Tu as l'air de bien mener ta barque, c'est cool de lire tes nouvelles aventures.
Pour M, et pour Red dans une moindre mesure, oui tu aurais pu aller plus loin pour voir ce que ça donne niveau compatibilité physique... à voir si le fait que ce soit des femmes racistes et / ou négatives te font débander ou pas
Ca dépend à quel point tu es en manque finalement...
Pour M, et pour Red dans une moindre mesure, oui tu aurais pu aller plus loin pour voir ce que ça donne niveau compatibilité physique... à voir si le fait que ce soit des femmes racistes et / ou négatives te font débander ou pas
Ca dépend à quel point tu es en manque finalement...- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Merci ! :) le 25.07.25, 00h30 par Esope
C'est bien que ça se débloque.
Il faut aussi se méfier des jugements qu'on porte sur les gens par automatisme dans notre sens.
C'est sûr que c'est mal d'être raciste, sexiste ou autre, mais il ne faut pas confondre le propos qu'une personne aurait ponctuellement de manière justifiée même si ça y ressemble, avec un mode de pensée général, automatique et sans nuance.
Ça m'est par exemple souvent arrivé qu'un même groupe de personnes fasse chier localement ou contextuellement, ça change suivant le contexte ou la localisation, et pour les gens qui vivent ça depuis longtemps, c'est facile de faire le raccourci entre ce groupe dans ce contexte et le même groupe partout tout le temps, au moins dans le langage.
Ça paraît pas aberrant d'associer "être un fils de pute" et "se faire détester", il y a rarement de la fumée sans feu.
C'est sûr qu'il faut un peu plus d'intelligence idéalement et faire la part des choses mais au bout d'un moment quand tu subis les gens tu n'as plus envie d'être intelligent et bienveillant.
Donc c'est important de savoir comment elles en arrivent à penser ça. Si elles se font emmerder en permanence par les mêmes gens c'est pas trop étonnant et c'est pas fondamentalement un mode de pensée. C'est "mécanique".
Je dis pas que c'est bien, c'est la même mécanique que les gens qui choisisse de faire le mal en réponse à un traumatisme ou une enfance flinguée. On a toujours le choix de basculer ou pas.
Idem pour la négativité, des gens réagissent par l'humour noir, d'autres en étant vulgaires, d'autres critiquent ou dépriment
Mais faut pas se leurrer, on est pas tous des bonzes ayant atteint l'illumination.
Si c'est quelque chose d'intrinsèque ou lié à l'éducation (plus sur la partie tolérance que sur la partie nuance ou comment réagir au monde et à l'adversité et l'altérité) et aux valeurs, là c'est plus problématique. Et certainement plus à éviter.
Donc à toi de trier. Mais ce qui compte in fine, c'est comment elles sont avec toi au temps présent et comment elles seraient avec toi en cas de problème et de rupture. Si tu penses que ça imprimerait leur manière d'être, c'est aussi à prendre en compte. Rien de mire que subir une femme qui est la plus parfaite avec toi jusqu'à ce qu'un jour pour un truc anodin sauf dans sa tête, tu perdes grâce à ses yeux et que là tu deviennes bon à jeter aux chiens...
Il faut aussi se méfier des jugements qu'on porte sur les gens par automatisme dans notre sens.
C'est sûr que c'est mal d'être raciste, sexiste ou autre, mais il ne faut pas confondre le propos qu'une personne aurait ponctuellement de manière justifiée même si ça y ressemble, avec un mode de pensée général, automatique et sans nuance.
Ça m'est par exemple souvent arrivé qu'un même groupe de personnes fasse chier localement ou contextuellement, ça change suivant le contexte ou la localisation, et pour les gens qui vivent ça depuis longtemps, c'est facile de faire le raccourci entre ce groupe dans ce contexte et le même groupe partout tout le temps, au moins dans le langage.
Ça paraît pas aberrant d'associer "être un fils de pute" et "se faire détester", il y a rarement de la fumée sans feu.
C'est sûr qu'il faut un peu plus d'intelligence idéalement et faire la part des choses mais au bout d'un moment quand tu subis les gens tu n'as plus envie d'être intelligent et bienveillant.
Donc c'est important de savoir comment elles en arrivent à penser ça. Si elles se font emmerder en permanence par les mêmes gens c'est pas trop étonnant et c'est pas fondamentalement un mode de pensée. C'est "mécanique".
Je dis pas que c'est bien, c'est la même mécanique que les gens qui choisisse de faire le mal en réponse à un traumatisme ou une enfance flinguée. On a toujours le choix de basculer ou pas.
Idem pour la négativité, des gens réagissent par l'humour noir, d'autres en étant vulgaires, d'autres critiquent ou dépriment
Mais faut pas se leurrer, on est pas tous des bonzes ayant atteint l'illumination.
Si c'est quelque chose d'intrinsèque ou lié à l'éducation (plus sur la partie tolérance que sur la partie nuance ou comment réagir au monde et à l'adversité et l'altérité) et aux valeurs, là c'est plus problématique. Et certainement plus à éviter.
Donc à toi de trier. Mais ce qui compte in fine, c'est comment elles sont avec toi au temps présent et comment elles seraient avec toi en cas de problème et de rupture. Si tu penses que ça imprimerait leur manière d'être, c'est aussi à prendre en compte. Rien de mire que subir une femme qui est la plus parfaite avec toi jusqu'à ce qu'un jour pour un truc anodin sauf dans sa tête, tu perdes grâce à ses yeux et que là tu deviennes bon à jeter aux chiens...
Le score de cet utilisateur est négatif ce qui veut dire que ses messages sont globalement jugés problématiques par les autres utilisateurs.
Ah bon ?Esope a écrit : ↑24.07.25
Je sais que le monde serait vent debout contre une étude qui dirait qu'il n'y a pas besoin de s'inquiéter du niveau de vie des Français, car le PIB augmente donc les Français sont plus riches en moyenne, qu'ils étudieraient la médiane, les différents déciles, pour mettre en avant les inégalités... Pourquoi ce n'est pas le cas là...
Je trouve qu'on contraire, ce que tu dis ne se produit jamais (en dehors du cercle "France Culture"/"Monde diplomatique"/etc.)
Et bien, tu es devenu un vrai Apollon dis-doncNote positive
Dommage que O ne te plaise pas physiquement... Ça a l'air très fort entre-vousLe point mi septembre
M : j’avais parlé de M la dernière fois, une française (c’est rare) qui a autant de trucs super attirants que de points négatifs. Pour une fois il y avait une attirance émotionnelle/physique forte de mon côté. Bon ben la dame jouait avec moi. Elle jouait avec mon désir, me chauffait, m’envoyait des nudes, me proposait qu’on se voit puis annulait, ou si elle venait, elle me chauffait encore plus (elle m’a montré son string et ses fesses et plaqué mes mains sur sa poitrine pendant le dernier rdv) mais elle a refusé qu’on s’embrasse, qu’on passe la nuit ensemble… Elle annulait quasi systématiquement, et ça m’ennuyait. Elle prétendait chercher une relation sérieuse, monogame, voulait prendre le temps avant que ça devienne physique (et c’est ok pour moi) et m’avait assuré et répété ne parler à personne d’autre. Mais j’ai fini par réaliser qu’elle était constamment en ligne sur les applis et changeait ses photos. Ca m’a touché légèrement pendant une semaine et ça m’a ennuyé car j’avais arrêté de parler à d’autres personnes. Mais la page a été facilement tournée.
Weekend avec Lionne : Ca faisait 6 mois que je n’avais pas vu Lionne, cette (sex?)-friend. J’avais annulé le plan du week end suite au début de ce qu’il s’est passé avec M (quand tu prévois un truc monogame, tu ne vas pas passer un week end à dormir dans le même lit que ta sex friend…). Mais vu que M n’est plus là, c’est reparti. Le week end fut très bon. Balade, Restos... Beaucoup de contact physique, du cul, une femme qui aime ce que je lui fais et qui me dit que je l’excite à mort… ça fait plaisir. C’était tellement inattendu que je n’avais même pas pris assez de capotes. On a essayé des trucs aussi, du genre l’attacher au lit… (Par contre, les femmes qui disent « tu fais ce que tu veux de moi », faut arrêter… tu ne veux pas que je fasse ce que je veux de toi, sinon je le ferai déjà. Donc je clarifie et elle me dit non, tu ne peux pas jouir dans ma bouche … non tu ne peux pas me prendre en photo… non, pas dehors.) Bref, c’était un bon zweek end et ça a fait du bien quand même.
L’Allemande : lorsque j’ai commencé à voir M, j’ai dit à l’Allemande que ça n’irait pas plus loin. Elle ne l’avait pas particulièrement bien pris, s’est sentie rejetée sans qu’on ait put se voir en vrai. Je lui avais expliqué que pour moi la distance était un problème (elle vit à 5-6h de moi). Bon elle était spé aussi.
6 semaines plus tard, elle me recontacte, on discute, je lui dit que je ne vois plus M et que je passe par chez elle 3 jours plus tard pour le travail et qu’on pourrait se voir. Elle accepte sans rien promettre. Le rdv était plus pensé comme amical. A la fin du rdv, je lui propose de la prendre dans mes bras. On se prend dans les bras et elle ne me lache plus. On est bien resté 5 minutes comme ça, elle a pleuré… génial l’ambiance… et c’est quoi la suite à donner, c’est pas dans le script du premier date… on sauve comment une situation comme celle là ? Et ben on commence à se rouler des pelles et elle est vraiment super excitée. On sent qu’elle n’a pas touché un homme en 10 ans et que sa libido est de retour. Elle ne me lâche plus et j’ai du mal à la quitter pour aller manger rentrer dormir, elle doit retourner passer la nuit chez sa soeur.
Le lendemain, elle me propose de se revoir, et je lui dit que ce n’est pas possible, j’ai d’autres engagements pour la soirée, et elle me propose qu’on passe la nuit ensemble. Pas de sexe. Je dis ok J’avais bien compris que quand elle disait pas de sexe, c’était plus pour ne pas être obligée. Parce qu’en fait, elle était prête à se deshabiller, à se masturber, pour un cuni et des orgasmes… Et punaise, elle est bruyante et en redemande, je plains les chambres d’à côté.
Bref, elle pars en vacances 3 semaines et la discussion est compliquée, elle veut une relation, je lui explique que pour moi c’est niet, elle vit à 5-6h de chez moi, j’ai pas envie de recommencer un truc comme ça. Mais on continue à discuter, elle est très intéressante, à de bonnes valeurs, mais aussi une vie mentale compliquée, un peu paumée… et elle a super envie de cul et l’exprime de belles manières. C’est étonnant et rare. Elle m’envoie des scénarios, elle s’enregistre en audio ou en vidéo en train de se masturber. A un moment on se fait même un visio… Bref, c’est assez unique pour moi, et je sens que je pourrais m’amuser pas mal avec elle sexuellement, car elle veut expérimenter… Mais pour le reste je ne suis pas convaincu. Elle me voit comme un espèce de sauveur, rôle que je veux bien prendre, mais je lui répète que je ne veux pas de relation mais que je veux bien la baiser, et que je rencontre d’autres femmes.
J’ai eu 3 rdv qui n’ont rien donné (des étrangères principalement européennes, mais toujours des étrangères… j’y comprends rien).
Réalité parallèle :
Je vais rendre visite à un pote vivant à 4h de chez moi, pour un weekend. On est invité le soir chez certains de ses amis. Je passe une soirée complètement inattendue. On est 2 hétéros au milieux d’hommes gays, riches, influents, bien à droite politiquement, mais intelligents, cultivés, et drôles… J’ai passé une très bonne soirée, surprenante, goûté des vins plus vieux que moi et d’autres grand crus, des alcools forts et très chers, j’ai pu discuter archéologie, histoire, et on m’a proposé de devenir franc maçon XD Et j’ai si j’en ai rien à faire de la richesses des gens et que je suis clairement pas aligné politiquement avec eux, j’aime bien la culture et j’ai remarqué que le genre de discussion que j’ai eu là, je peux l’avoir avec de rares connaissances mais j’ai jamais rencontré de femmes avec laquelle je puisse parler comme ça.
Le weekend continue avec des concerts gratuits, des pogos, des visites culturelles surprenantes
J’ai fait la remarque à mon pote que la prochaine fois, il devrait aussi me présenter des femmes célibataires et pas que des hommes gays. Et j’ai reçu le lendemain un message d’une femme de 45 ans que je n’ai jamais rencontré, se présentant comme une amie de mon pote et de ses amis, une Milf, et qui s’est gentiment proposé de faire 4 heures de route pour venir passer une nuit chez moi.
Comment vous dire… c’était un des week ends les plus what the fuck de ma vie. La Milf est venue, c’était tellement rare de voir une femme entreprenante que j’ai dis oui. C’était une nuit et une matinée sympa, elle est cool, mais pas une expérience sexuelle à renouveler.
Retour sur l’Allemande :
On aurait dû se voir lorsqu’elle revient de vacances mais j’annule (ça tombe pile au moment où j’ai arrêté l’anti dépresseur et je sortais de semaines surchargées). J’avais besoin de temps pour moi.
On aurait dû se voir dans 1 semaine mais ça ne sera pas possible pour cause médicale (maladie contagieuse).
Etat mental :
Depuis le début de l’année, j’ai enfin un traitement qui marche. Utilisé contre les phases dépressives dans les troubles bipolaires. Franchement, j’ai de nouveau une vie, pour rien au monde je ne voudrais revivre comme l’année dernière. Bon, je dois l’arrêter, peut-être seulement temporairement. Des effets secondaires aux complications très sévères ont peut-être été observés. En 2 jours, le médecin et le psychiatre m’ont dit qu’il ne pouvait pas exclure le pire effet secondaire possible. Bref, si j’ai divers symptômes normalement bénins, je dois aller direct aux urgences. Donc comment dire, ça m’a un peu abattu hier.
Avant même cela, je me posais des questions par rapport à mon (absence d’) évolution. Je me sens mieux depuis 8 mois, mais je n’avance malgré tout que très peu dans ma vie :
- toujours célibataire, pendant longtemps je ne comprenais pas pourquoi ça ne marche pas, je me demande maintenant si je veux inconsciemment que ça marche (je me retrouve très bien dans des descriptions d’attachement évitant). Je suis quand même à 4 ans de célibat (ou 5, je ne sais même plus), dans lesquelles, malgré avoir désiré une relation, je ne suis jamais sorti plus d’un mois avec une femme en qui je pouvais voir une future partenaire. Et encore, même quand ça a duré un mois, c’est moi qui est arrêté, ça me semblait logique, mais au fond, c’était mon choix.
- malgré plus de sexe ces dernières semaines (j’ai eu 10 rapports en 3 mois, c’est plus que sur les 12-18 mois précédents), un rapport et un orgasme ne suffisent pas à me sentir épanoui. Ses dernières années, le sexe est souvent sympa, régulièrement juste ok, il est rarement avec des femmes que je considère comme attirante ou très attirante. De bons orgasmes, de bons souvenirs sexuels, j’en ai finalement assez peu. Par exemple, j’adore jouir dans la bouche d’une femme, je ne sais pas pourquoi, mais les sensations et le plaisir me semblent 10 fois plus intense qu’autrement. Ben depuis mon ex il y a 4 ou 5 ans, c’est arrivé deux fois.
- globalement je remarque que je ne trouve toujours pas ma place dans la société. Je me suis fait de nouveaux amis cette année, rencontré via des activités, je suis plutôt bien entouré… Mais il manque une communauté, un ensemble dont je serai une partie. C’est peut-être pour ça que je me sens aussi bien dans des festivals de métal.
En même temps, c’est pas facile de rencontrer du monde quand on ne montre pas qui on est. J’ai toujours essayé d’être discret (attachement évitant ?), par peur du jugement, des autres. Etrangement, je me suis aussi toujours singularisé, j’ai jamais essayé de rentrer dans la norme, lorsque j’y étais, c’était souvent pas par choix.
Je pense toujours avoir un problème pour regarder la plupart des gens dans les yeux. Je en fais jamais d’eye contact (genre avec une femme dans la rue, dans un bar, dans les transports... c’est 1-2 fois par an max)
Même maintenant, la personne qui me croise dans la rue ou en soirée n’arrivera pas à me situer. Je n’ai pas de signe distinctif, de tatouage, d’accessoire, de vêtement de marque ou autre témoignant une certaine culture, de signe extérieur de richesse ou de statut. Ca ne veut pas dire que je suis mal habillé, mais ça ne marque pas une appartenance à une communauté.
Bref, plein de questions, ma vie est toujours un chaos et je ne sais toujours pas ce que je ferai dans un an.
J’ai arrêté les applis, j’étais même pas dépité comme par le passé. C’est même pas ressenti comme un échec.
M : j’avais parlé de M la dernière fois, une française (c’est rare) qui a autant de trucs super attirants que de points négatifs. Pour une fois il y avait une attirance émotionnelle/physique forte de mon côté. Bon ben la dame jouait avec moi. Elle jouait avec mon désir, me chauffait, m’envoyait des nudes, me proposait qu’on se voit puis annulait, ou si elle venait, elle me chauffait encore plus (elle m’a montré son string et ses fesses et plaqué mes mains sur sa poitrine pendant le dernier rdv) mais elle a refusé qu’on s’embrasse, qu’on passe la nuit ensemble… Elle annulait quasi systématiquement, et ça m’ennuyait. Elle prétendait chercher une relation sérieuse, monogame, voulait prendre le temps avant que ça devienne physique (et c’est ok pour moi) et m’avait assuré et répété ne parler à personne d’autre. Mais j’ai fini par réaliser qu’elle était constamment en ligne sur les applis et changeait ses photos. Ca m’a touché légèrement pendant une semaine et ça m’a ennuyé car j’avais arrêté de parler à d’autres personnes. Mais la page a été facilement tournée.
Weekend avec Lionne : Ca faisait 6 mois que je n’avais pas vu Lionne, cette (sex?)-friend. J’avais annulé le plan du week end suite au début de ce qu’il s’est passé avec M (quand tu prévois un truc monogame, tu ne vas pas passer un week end à dormir dans le même lit que ta sex friend…). Mais vu que M n’est plus là, c’est reparti. Le week end fut très bon. Balade, Restos... Beaucoup de contact physique, du cul, une femme qui aime ce que je lui fais et qui me dit que je l’excite à mort… ça fait plaisir. C’était tellement inattendu que je n’avais même pas pris assez de capotes. On a essayé des trucs aussi, du genre l’attacher au lit… (Par contre, les femmes qui disent « tu fais ce que tu veux de moi », faut arrêter… tu ne veux pas que je fasse ce que je veux de toi, sinon je le ferai déjà. Donc je clarifie et elle me dit non, tu ne peux pas jouir dans ma bouche … non tu ne peux pas me prendre en photo… non, pas dehors.) Bref, c’était un bon zweek end et ça a fait du bien quand même.
L’Allemande : lorsque j’ai commencé à voir M, j’ai dit à l’Allemande que ça n’irait pas plus loin. Elle ne l’avait pas particulièrement bien pris, s’est sentie rejetée sans qu’on ait put se voir en vrai. Je lui avais expliqué que pour moi la distance était un problème (elle vit à 5-6h de moi). Bon elle était spé aussi.
6 semaines plus tard, elle me recontacte, on discute, je lui dit que je ne vois plus M et que je passe par chez elle 3 jours plus tard pour le travail et qu’on pourrait se voir. Elle accepte sans rien promettre. Le rdv était plus pensé comme amical. A la fin du rdv, je lui propose de la prendre dans mes bras. On se prend dans les bras et elle ne me lache plus. On est bien resté 5 minutes comme ça, elle a pleuré… génial l’ambiance… et c’est quoi la suite à donner, c’est pas dans le script du premier date… on sauve comment une situation comme celle là ? Et ben on commence à se rouler des pelles et elle est vraiment super excitée. On sent qu’elle n’a pas touché un homme en 10 ans et que sa libido est de retour. Elle ne me lâche plus et j’ai du mal à la quitter pour aller manger rentrer dormir, elle doit retourner passer la nuit chez sa soeur.
Le lendemain, elle me propose de se revoir, et je lui dit que ce n’est pas possible, j’ai d’autres engagements pour la soirée, et elle me propose qu’on passe la nuit ensemble. Pas de sexe. Je dis ok J’avais bien compris que quand elle disait pas de sexe, c’était plus pour ne pas être obligée. Parce qu’en fait, elle était prête à se deshabiller, à se masturber, pour un cuni et des orgasmes… Et punaise, elle est bruyante et en redemande, je plains les chambres d’à côté.
Bref, elle pars en vacances 3 semaines et la discussion est compliquée, elle veut une relation, je lui explique que pour moi c’est niet, elle vit à 5-6h de chez moi, j’ai pas envie de recommencer un truc comme ça. Mais on continue à discuter, elle est très intéressante, à de bonnes valeurs, mais aussi une vie mentale compliquée, un peu paumée… et elle a super envie de cul et l’exprime de belles manières. C’est étonnant et rare. Elle m’envoie des scénarios, elle s’enregistre en audio ou en vidéo en train de se masturber. A un moment on se fait même un visio… Bref, c’est assez unique pour moi, et je sens que je pourrais m’amuser pas mal avec elle sexuellement, car elle veut expérimenter… Mais pour le reste je ne suis pas convaincu. Elle me voit comme un espèce de sauveur, rôle que je veux bien prendre, mais je lui répète que je ne veux pas de relation mais que je veux bien la baiser, et que je rencontre d’autres femmes.
J’ai eu 3 rdv qui n’ont rien donné (des étrangères principalement européennes, mais toujours des étrangères… j’y comprends rien).
Réalité parallèle :
Je vais rendre visite à un pote vivant à 4h de chez moi, pour un weekend. On est invité le soir chez certains de ses amis. Je passe une soirée complètement inattendue. On est 2 hétéros au milieux d’hommes gays, riches, influents, bien à droite politiquement, mais intelligents, cultivés, et drôles… J’ai passé une très bonne soirée, surprenante, goûté des vins plus vieux que moi et d’autres grand crus, des alcools forts et très chers, j’ai pu discuter archéologie, histoire, et on m’a proposé de devenir franc maçon XD Et j’ai si j’en ai rien à faire de la richesses des gens et que je suis clairement pas aligné politiquement avec eux, j’aime bien la culture et j’ai remarqué que le genre de discussion que j’ai eu là, je peux l’avoir avec de rares connaissances mais j’ai jamais rencontré de femmes avec laquelle je puisse parler comme ça.
Le weekend continue avec des concerts gratuits, des pogos, des visites culturelles surprenantes
J’ai fait la remarque à mon pote que la prochaine fois, il devrait aussi me présenter des femmes célibataires et pas que des hommes gays. Et j’ai reçu le lendemain un message d’une femme de 45 ans que je n’ai jamais rencontré, se présentant comme une amie de mon pote et de ses amis, une Milf, et qui s’est gentiment proposé de faire 4 heures de route pour venir passer une nuit chez moi.
Comment vous dire… c’était un des week ends les plus what the fuck de ma vie. La Milf est venue, c’était tellement rare de voir une femme entreprenante que j’ai dis oui. C’était une nuit et une matinée sympa, elle est cool, mais pas une expérience sexuelle à renouveler.
Retour sur l’Allemande :
On aurait dû se voir lorsqu’elle revient de vacances mais j’annule (ça tombe pile au moment où j’ai arrêté l’anti dépresseur et je sortais de semaines surchargées). J’avais besoin de temps pour moi.
On aurait dû se voir dans 1 semaine mais ça ne sera pas possible pour cause médicale (maladie contagieuse).
Etat mental :
Depuis le début de l’année, j’ai enfin un traitement qui marche. Utilisé contre les phases dépressives dans les troubles bipolaires. Franchement, j’ai de nouveau une vie, pour rien au monde je ne voudrais revivre comme l’année dernière. Bon, je dois l’arrêter, peut-être seulement temporairement. Des effets secondaires aux complications très sévères ont peut-être été observés. En 2 jours, le médecin et le psychiatre m’ont dit qu’il ne pouvait pas exclure le pire effet secondaire possible. Bref, si j’ai divers symptômes normalement bénins, je dois aller direct aux urgences. Donc comment dire, ça m’a un peu abattu hier.
Avant même cela, je me posais des questions par rapport à mon (absence d’) évolution. Je me sens mieux depuis 8 mois, mais je n’avance malgré tout que très peu dans ma vie :
- toujours célibataire, pendant longtemps je ne comprenais pas pourquoi ça ne marche pas, je me demande maintenant si je veux inconsciemment que ça marche (je me retrouve très bien dans des descriptions d’attachement évitant). Je suis quand même à 4 ans de célibat (ou 5, je ne sais même plus), dans lesquelles, malgré avoir désiré une relation, je ne suis jamais sorti plus d’un mois avec une femme en qui je pouvais voir une future partenaire. Et encore, même quand ça a duré un mois, c’est moi qui est arrêté, ça me semblait logique, mais au fond, c’était mon choix.
- malgré plus de sexe ces dernières semaines (j’ai eu 10 rapports en 3 mois, c’est plus que sur les 12-18 mois précédents), un rapport et un orgasme ne suffisent pas à me sentir épanoui. Ses dernières années, le sexe est souvent sympa, régulièrement juste ok, il est rarement avec des femmes que je considère comme attirante ou très attirante. De bons orgasmes, de bons souvenirs sexuels, j’en ai finalement assez peu. Par exemple, j’adore jouir dans la bouche d’une femme, je ne sais pas pourquoi, mais les sensations et le plaisir me semblent 10 fois plus intense qu’autrement. Ben depuis mon ex il y a 4 ou 5 ans, c’est arrivé deux fois.
- globalement je remarque que je ne trouve toujours pas ma place dans la société. Je me suis fait de nouveaux amis cette année, rencontré via des activités, je suis plutôt bien entouré… Mais il manque une communauté, un ensemble dont je serai une partie. C’est peut-être pour ça que je me sens aussi bien dans des festivals de métal.
En même temps, c’est pas facile de rencontrer du monde quand on ne montre pas qui on est. J’ai toujours essayé d’être discret (attachement évitant ?), par peur du jugement, des autres. Etrangement, je me suis aussi toujours singularisé, j’ai jamais essayé de rentrer dans la norme, lorsque j’y étais, c’était souvent pas par choix.
Je pense toujours avoir un problème pour regarder la plupart des gens dans les yeux. Je en fais jamais d’eye contact (genre avec une femme dans la rue, dans un bar, dans les transports... c’est 1-2 fois par an max)
Même maintenant, la personne qui me croise dans la rue ou en soirée n’arrivera pas à me situer. Je n’ai pas de signe distinctif, de tatouage, d’accessoire, de vêtement de marque ou autre témoignant une certaine culture, de signe extérieur de richesse ou de statut. Ca ne veut pas dire que je suis mal habillé, mais ça ne marque pas une appartenance à une communauté.
Bref, plein de questions, ma vie est toujours un chaos et je ne sais toujours pas ce que je ferai dans un an.
J’ai arrêté les applis, j’étais même pas dépité comme par le passé. C’est même pas ressenti comme un échec.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+2] La suite, vite ! le 22.09.25, 11h18 par Jalapeno
- [0] Intéressant le 22.09.25, 19h17 par The_PoP
- [+3] Like ! le 23.09.25, 22h03 par FK
Pour mesurer le chemin parcouru, rien de mieux que de relire le début de ton journal. Parce que c’est tes mots et ta vision que tu vas confronter et non pas tes souvenirs transformés par ta perception actuelle et édulcorés/adoucis/modifiés par le prisme du passé…
La tu verras si tu as fait du chemin ou non.
La tu verras si tu as fait du chemin ou non.