Inintéressant et lent

Bonjour à tous. Tout d'abord, comme je viens de m'inscrire sur ce forum, je vais commencer par préciser que je ne souhaite pas devenir un collectionneur de culotte (même si j'aimerais bien être en couple en ce moment), simplement je désire optimiser ma personnalité. Cela peut aider en séduction certes mais l'optimisation n'a pas pour finalité de tirer à la pelle. Je passe par un forum de séduction parce que je sais qu'un séducteur est forcément quelqu'un qui a confiance en lui, quelqu'un qui sait discuter, intriguer, capter l'attention et se mettre en valeur (dite le moi si je me trompe).
Bref, mon problème semble être la timidité, assez banal tout ça, mais c'est plus complexe que ça. Je réagis des fois comme quelqu'un qui n'est pas timide, je n'hésite pas à aborder un inconnu si besoin est par exemple, par contre une inconnue, c'est moins facile sauf si j'ai une raison béton. Je veux dire, des gens qui pourtant sont en couples n'ont pas le culot parfois de faire ce que je fais. Mais néanmoins, j'ai quelques points faibles qui semble répondre des symptômes de la timidité, et qui me gêne absolument.

Inintéressant et lent. C'est comme ça que je pense que l'on me voit. Inintéressant peut être pas de manière consciente car c'est un adjectif assez péjoratif, les gens osent pas se faire des conclusions aussi méchante sur une personne (saufs en colère contre elle éventuellement), lent par contre ... On me l'a même déjà dis.
Ce que je ne comprend pas, c'est que je n'ai pas toujours été comme ça, "lent". Qu'est ce que j'entends par lent ? Et bien j'ignore pourquoi mais depuis quelques années je réfléchis plus lentement notamment quand je suis confronté à autrui, il suffit qu'une personne soit a l'aise, bien plus à l'aise que moi pour que je me retrouve avec aucune répartie, a ne pas réussir à lui répondre sans hésiter, sans paraître normal, en manquant de spontanéité... Il m'est arrivé en répondant a des personnes de voir dans leur yeux "Mais qu'est ce qu'il raconte celui la ?". Timidité, hypersensibilité, manque de confiance? Peut être un mix...
On dirait que je ne suis pas connecté aux autres, les répliques me sortent pas aussi vite de la bouche comme je peux en voir chez certains ; une connexion d'une milliseconde et ils ont déjà la réponse, la blague, la vanne, le raisonnement qui sort de leur bouche spontanément. Comme je l'ai dis plus haut, je n'ai pas toujours été comme ça. Et c'est cet aspect "2 de tension" fait que je ne peux pas paraître dominant, ou comme vous le dites male alpha, chose que j'arrivais à être il y a plusieurs années. Ai-je perdu en charisme? Ca se perd le charisme? Je ne comprend pas pourquoi je suis comme ça, on dirait que j'ai perdu une partie de mon cerveau, ce qui m'aurait dans cette hypothèse fait perdre en rapidité de réflexion.

Bref, le corollaire à ce phénomène c'est de paraître inintéressant, effectivement plusieurs problèmes nous tombent du ciel. Deja, je manque cruellement de conversation quoi que c'est relatif... Au début, quand je rencontre la personne ca va, je peux trouver quoi dire, mais c'est après, là... Plus rien à dire, j'arrive pas a me rapprocher de la personne, a avoir des délires privés avec elle, a capter vraiment son attention. Ca me fait ca avec les personnes qui ont beaucoup confiance en elles, et les filles... Avec les autres ca peut aller. Je ne sais jamais comment capter l'attention des gens, les intéresser, je ne sais pas quoi dire, parfois quand je parle j'ai l'impression d'intéresser personne, de dire de la merde, de ne pas être écouté aussi, pris au sérieux. J'ai l'impression que les gens ne m'estime pas beaucoup, je n'ai pas de tchatche et je n'ai pas la réponse intéressante spontanée. Pourtant je savais bien faire rire les filles il y a quelques années, quand je n'étais pas "lent". Il m'est arrivé de me retrouver avec des "potes", qui se mettent d'un coup à discuter entre eux en me laissant de coté (tantôt je ne sais tout simplement pas quoi dire pour intervenir, tantôt ils parlent carrément de choses qui me concernent pas), si bien qu' ayant de nature un caractère de merde, j'ai tendance à faire comme si je faisais autre chose, voir je me tire et je préfère me mettre seul dans mon coin plutôt que de faire office de meuble...

Donc voila, je pense avoir fait une belle petite description des rapports étudiants dominants/étudiants dominés (j'ai 20 ans), d'un certain processus de disqualification entres sujets, etc... Je vois des types très fort pour se mettre au centre de la conversation, arriver et faire tout le groupe parler de ce que lui veut, très indépendant et qui contrôle les autres comme il le souhaitent... J'aimerais avoir un peu de ce coté, parce que là j'en ai marre d'être le gars sympa un peu de coté...

Dernière chose: je trouve cette note intéressante ; en effet, je suis près à parier un gros paquet que les personnes dont je décris le comportement disqualifiant, inintéressé, indirectement violent, ne s'imaginent pas que je puisse être suffisamment lucide pour le rationaliser et lui dégager un tel sens. Vous l'aurez compris, lent + inintéressant = on se dit que la personne est conne.

Voila, je crois avoir fait le tour. Est-ce déjà arrivé à des gens ici? Il y a-t-il des remèdes? Ai-je zappé quelques articles sur le développement personnel (qui ne sont pas sur ce site ou qui sont dans les archives)? Est-ce un problème clinique? Bref, je propose d'en discuter.

Conscience a écrit :Inintéressant et lent. C'est comme ça que je pense que l'on me voit. Inintéressant peut être pas de manière consciente car c'est un adjectif assez péjoratif, les gens osent pas se faire des conclusions aussi méchante sur une personne (saufs en colère contre elle éventuellement), lent par contre ... On me l'a même déjà dis.

Quelles attitudes ont les gens qui te fait croire qu'ils te jugent inintéressant ?

Ce ne serait pas comme ça que TU te vois ? Et, de ce fait, renvoit une image d'un type " inintéressant " ?

Conscience a écrit :Ce que je ne comprend pas, c'est que je n'ai pas toujours été comme ça, "lent". Qu'est ce que j'entends par lent ? Et bien j'ignore pourquoi mais depuis quelques années je réfléchis plus lentement notamment quand je suis confronté à autrui, il suffit qu'une personne soit a l'aise, bien plus à l'aise que moi pour que je me retrouve avec aucune répartie, a ne pas réussir à lui répondre sans hésiter, sans paraître normal, en manquant de spontanéité... Il m'est arrivé en répondant a des personnes de voir dans leur yeux "Mais qu'est ce qu'il raconte celui la ?". Timidité, hypersensibilité, manque de confiance? Peut être un mix...

Tu es impressionné par des types dont tu penses qu'ils ont plus de valeur que toi.

Lis ceci : croyez-en-votre-valeur-vt15267.html

Conscience a écrit :On dirait que je ne suis pas connecté aux autres, les répliques me sortent pas aussi vite de la bouche comme je peux en voir chez certains ; une connexion d'une milliseconde et ils ont déjà la réponse, la blague, la vanne, le raisonnement qui sort de leur bouche spontanément. Comme je l'ai dis plus haut, je n'ai pas toujours été comme ça. Et c'est cet aspect "2 de tension" fait que je ne peux pas paraître dominant, ou comme vous le dites male alpha, chose que j'arrivais à être il y a plusieurs années. Ai-je perdu en charisme? Ca se perd le charisme? Je ne comprend pas pourquoi je suis comme ça, on dirait que j'ai perdu une partie de mon cerveau, ce qui m'aurait dans cette hypothèse fait perdre en rapidité de réflexion.

Fatigue ? Petite déprime ? Carence en vitamine(s)/sels minéraux ? Événement " traumatisant " vécu endéans ces dernières années ( divorce, décès, rupture douloureuse ... ) ?

En ce qui concerne la répartie, rassure-toi, ça se travaille ! Déjà par la lecture, les films, ... : retiens quelques phrases ( ou note-les ) que tu pourrais resortir dans bon nombre de situations ( ça te donnera déjà plus d'assurance, un peu comme une routine chopée sur le site ). Ensuite, quand tu as été bloqué et que tu n'as pas su répondre à une vanne, ... repense-y après et cherche une ou deux répliques que tu aurais pu dire.
Pour moi ça a marché ( très bon résultats en un-deux mois ), maintenant je recherche la joute verbale

Conscience a écrit :Bref, le corollaire à ce phénomène c'est de paraître inintéressant, effectivement plusieurs problèmes nous tombent du ciel. Déjà, je manque cruellement de conversation quoi que c'est relatif... Au début, quand je rencontre la personne ça va, je peux trouver quoi dire, mais c'est après, là... Plus rien à dire, j'arrive pas a me rapprocher de la personne, a avoir des délires privés avec elle, a capter vraiment son attention. Ça me fait ça avec les personnes qui ont beaucoup confiance en elles, et les filles... Avec les autres ça peut aller. Je ne sais jamais comment capter l'attention des gens, les intéresser, je ne sais pas quoi dire, parfois quand je parle j'ai l'impression d'intéresser personne, de dire de la merde, de ne pas être écouté aussi, pris au sérieux. J'ai l'impression que les gens ne m'estime pas beaucoup, je n'ai pas de tchatche et je n'ai pas la réponse intéressante spontanée. Pourtant je savais bien faire rire les filles il y a quelques années, quand je n'étais pas "lent". Il m'est arrivé de me retrouver avec des "potes", qui se mettent d'un coup à discuter entre eux en me laissant de coté (tantôt je ne sais tout simplement pas quoi dire pour intervenir, tantôt ils parlent carrément de choses qui me concernent pas), si bien qu' ayant de nature un caractère de merde, j'ai tendance à faire comme si je faisais autre chose, voir je me tire et je préfère me mettre seul dans mon coin plutôt que de faire office de meuble...

TU CROIS que tu es inintéressant.

Pour les conversations, fais parler les gens d'eux, de leurs passions, ... et rebondis sur des thèmes qui te parlent.
Pense aussi VARSEL : voyages, animaux, relations, sport, événements, livres ( je pense que ça vient de Juggler ).

Je pense que être " lent " n'est pas une mauvaise chose. Tu parais ainsi réfléchir à ce que dit ton interlocuteur, prendre en considération ce qu'il dit, ... que des bonnes choses donc.
Tu dois jouer avec ton regard, ta voix, tes mimiques faciales, ...

Je pense aussi que tu crois beaucoup de choses sur les gens. Ils ne font pas que te juger en permanence, ils sont bien occupés à gérer l'image qu'ils veulent projeter et à savoir ce que les gens pensent d'eux.
Et travaille ta confiance en toi : tu écris presque toujours " JE CROIS QUE les gens me trouvent lent/inintéressant/blibli/... ", c'est plutôt TOI qui te vois ainsi.
Lis un peu ceci : devenez-vous-meme-vt14420.html

Conscience a écrit : Donc voila, je pense avoir fait une belle petite description des rapports étudiants dominants/étudiants dominés (j'ai 20 ans), d'un certain processus de disqualification entres sujets, etc... Je vois des types très fort pour se mettre au centre de la conversation, arriver et faire tout le groupe parler de ce que lui veut, très indépendant et qui contrôle les autres comme il le souhaitent... J'aimerais avoir un peu de ce coté, parce que là j'en ai marre d'être le gars sympa un peu de coté...

Bah ils se lancent, n'ont pas peur de dire des conneries, se moquent du regard des autres, ...

Conscience a écrit : Voila, je crois avoir fait le tour. Est-ce déjà arrivé à des gens ici? Il y a-t-il des remèdes? Ai-je zappé quelques articles sur le développement personnel (qui ne sont pas sur ce site ou qui sont dans les archives)? Est-ce un problème clinique? Bref, je propose d'en discuter.

Le seul problème clinique est que tu es hypocondriaque !

Merci de ta réponse! Oui, j'ai 20 ans et je déprime à cause de mon divorce ;).

Plus sérieusement, c'est très possible que je me vois un peu trop négativement et que je l'imagine dans les yeux des autres... Je suis en train de lire l'article sur la croyance en sa valeur, c'est exactement la description des personnes que je connais qui n'ont pas de problème avec les femmes et les gens. Ces types là ont une belle expérience et des amis/copines de tout les cotés, ils ne ressentent peut-être pas cette nécessité que je ressens moi de plaire; comment ont-ils fait quand ils étaient encore en bas de l'échelle? Le travail serait de faire comme eux, de paraître épanoui, de ne pas chercher à se justifier et de tout simplement s'en foutre. C'est difficile à faire, si il suffisait de prendre connaissance de l'information pour y arriver ca serait facile mais... J'ai un blocage quand je parle à une personne inconnue, une personne intimidante bien à l'aise, une fille (belle surtout). C'est difficile d'y résister. Du coup, lenteur et parfois je dis de la merde.

Merci des conseils que tu m'as donné, mais tu sembles connaître un paquets de répliques... Tu pourrais me donner quelques exemples de phrases classe et paraissant spontanées?

Et je ne rigole pas à propos d'une potentielle maladie, c'est parfaitement possible; je n'étais pas comme ça avant, c'est frustrant de voir que maintenant si...

Conscience a écrit :Merci de ta réponse! Oui, j'ai 20 ans et je déprime à cause de mon divorce ;).

Je parle d'un éventuel divorce de tes parents ;)

Conscience a écrit :Merci des conseils que tu m'as donné, mais tu sembles connaître un paquets de répliques... Tu pourrais me donner quelques exemples de phrases classe et paraissant spontanées?

Mes répliques proviennent principalement de séries telles que " H et " How I met your mother ".
Je regarde aussi beaucoup de sketchs de Gad Elmaleh, Dubosc, Semoun, Dujardin, Lafesse, l'Embrouille, ...

Quelques répliques que j'affectionne :
- « Vous devriez vous faire soigner ! » --> « Je suis déjà un traitement »
- « Tu ne parles pas beaucoup en tout cas » --> « Mais tu parles pour deux » --> « Faut dire que j’ai peut-être une vie plus intéressante que la tienne »
- « Bonjour, Dams007, ma réputation m’a-t-elle précédée ou vais-je trop vite pour elle ? »
- « Je vois quelqu’un en ce moment » --> « Ah ? Tu as un nouveau chat ? »
- « HB, dans ton univers bien particulier, qu’est-ce qu’un(e) X ? »
- « Ton deuxième métier c’est être sérieuse ? » --> « Pas forcément. Çà m’arrive de rire, mais en général je ris avec des gens drôles »

Conscience a écrit :Et je ne rigole pas à propos d'une potentielle maladie, c'est parfaitement possible; je n'étais pas comme ça avant, c'est frustrant de voir que maintenant si...

C'est pour ça que je te propose de faire une introspection pour voir s'il ne t'est pas arrivé un événement " traumatisant " ces dernières années.

Vas faire un bilan sanguin, tu seras déjà fixé si c'est physiologique/biochimique ou non.

Intéressant ces répliques, il n'y a pas un sujet ici avec des phrases/réponses de ce genre? Pas qu'il faille les apprendre par cœur mais que c'est marrant à lire, et effectivement en retenir une ou deux peut permettre d'avoir un certain répondant. Par contre, des fois c'est assez abrupt, si tu sors ca tout les jours tu dois te battre souvent.

Pour ma lenteur, je ne sais pas trop quoi faire, pour le coté inintéressant, et bien je peux simplement être plus indépendant. A l'université, j'ai tendance à suivre mes amis, à accepter leur propositions, a me montrer trop ouverts à eux etc... J'ai l'impression que quand on fait ça, et qu'on se permet de ne plus se montrer de la sorte un ou deux jours, les gens nous voient tout de suite bien plus négativement que si l'on se comporte tout les jours ni méchant ni gentil, juste indifférent. Mais j'ai peur qu'être indifférent, ne pas attendre des réactions des autres quand je leur parle, ne pas suivre, partir de mon coté quand je le désir etc... m'amène à me retrouver tout seul. Il faudrait l'associer avec un charme, que je n'ai pas...

Conscience a écrit :Pour ma lenteur, je ne sais pas trop quoi faire, pour le coté inintéressant, et bien je peux simplement être plus indépendant.

En ce qui concerne ta lenteur, essaie de répondre le plus vite possible à une vanne qu'on t'a balancée. Au début ce sera une " mauvaise " réplique, et puis tu réfléchiras de plus en plus vite.

En ce qui concerne ton cas inintéressant :
1) si c'est le cas, lis, sors, vas à des conférences, fais des voyages, trouve-toi d'autres potes ( en plus ), ... histoire d'avoir des choses à dire
2) si ce n'est pas le cas ( objectivement parlant ), arrête de croire que tu l'es, que les autres ont une vie plus riche/intéressante/... que la tienne. En bref, travaille ta confiance en toi
3) dans les deux cas, joue sur les mots, les mimiques faciales, l'inflexion de la voix, sur les blancs, ... --> dans le cas 1 ça comblera en partie ton cas inintéressant; dans le cas 2 ça mettra encore plus de poids à tes paroles.
" Ce n'est pas la blague qui est drôle, mais celui qui la raconte ". Tout est dit.

Conscience a écrit :A l'université, j'ai tendance à suivre mes amis, à accepter leur propositions, à me montrer trop ouverts à eux etc... J'ai l'impression que quand on fait ça, et qu'on se permet de ne plus se montrer de la sorte un ou deux jours, les gens nous voient tout de suite bien plus négativement que si l'on se comporte tout les jours ni méchant ni gentil, juste indifférent. Mais j'ai peur qu'être indifférent, ne pas attendre des réactions des autres quand je leur parle, ne pas suivre, partir de mon coté quand je le désir etc... m'amène à me retrouver tout seul. Il faudrait l'associer avec un charme, que je n'ai pas...

" Cessez d'être gentil, soyez vrai " est le titre d'un livre de développement personnel, mais je pense que ça peut s'appliquer à ton cas.
Fais ce qu'il te plaît : la proposition de sortie de tes potes t'intéresse, tu y vas; elle ne t'intéresse pas, tu n'y vas pas, point barre. Il n'y a pas à être gentil ou méchant, mais juste à s'affirmer.

Tu dépends trop du regard et de l'approbation de l'autre. Tu dois certainement te juger inintéressant car tu estimes que la réaction de tes potes à tes histoires n'est pas assez élevée. Peut-être attends un peu moins de tes potes. Qui plus est, si tu dis que si agis comme TU le désires tu vas te retrouver seul, pose-toi la question de savoir en quoi ça te gênerait.
Fonce vers l'inconnu ( conférences, musées, ... ) et parle aux gens ( force-toi au début, puis ça deviendra un réflexe ). Déjà les gens qui vont à une conférence, ... y vont par choix, vous aurez ainsi un sujet de discussion qui vous plaît à tous les deux, plus facile pour opener. Ensuite tu développeras esprit d'initiative, esprit de répartie, tu vas te blinder vis-à-vis du regard de l'inconnu, ... Il y a pas mal de bonnes choses à sortir seul ( tant que tu ne fais pas que ça, ça ne peut pas être mauvais ).

Je n'arrive pas a avoir de répartie, de bon répondant, quand on me vanne (pour rigoler même si intérieurement ca me fait pas du tout rire), je ne sais pas quoi répondre, même si on me vanne gentillement je ne sais pas quoi répondre. Des fois, je suis en compagnie d'une personne avec qui je bronche 2 phrase, puis blanc! ensuite une autre personne arrive (qui elle a de la conversation) et paf, ils se mettent à discuter et a papoter ensemble. Je sais pas comment faire pour bien me rapprocher des gens (filles?) afin d'avoir des délires communs, surtout des filles à vrai dire. Avec les mecs j'arrive a en avoir naturellement parfois, avec les filles bof bof.
Je pense a hier soir dans le bus ou ou une pote m'a dit, pour rigoler (à moitié car c'est pas faux) "tu choppes pas de filles", pourquoi est ce que j'ai rien trouvé à répondre sur le coup? Alors que la la réponse qui me vient à l' esprit en y repensant, d'un coup, est "C'est parce que je ne rencontre que des filles comme toi". Sur le coup je ne pense pas à ca, comme gêné ou autre...

J'ai pourtant essayé d'adopter un style je m'en fou des autres, je me fou de leur approbation etc, mais on dirait pas que ca me rend plus intéressant.

Conscience a écrit :Je n'arrive pas a avoir de répartie, de bon répondant, quand on me vanne (pour rigoler même si intérieurement ça me fait pas du tout rire), je ne sais pas quoi répondre, même si on me vanne gentillement je ne sais pas quoi répondre.

Fais ce que je t'ai conseillé et tu verras des progrès dans quelques semaines ;) Sois plut patient, si tu es vraiment lent ça devrait être une de tes qualités

" Les autres n'ont sur toi que le pouvoir que tu leur accordes " RR ( aka Asles ). Penses-y quand tu te fais vanner, même si c'est ton meilleur pote.
Je pense qu'aller dans d'autres horizons peut t'aider ( conférences, ... ).

Conscience a écrit :Des fois, je suis en compagnie d'une personne avec qui je bronche 2 phrase, puis blanc! ensuite une autre personne arrive (qui elle a de la conversation) et paf, ils se mettent à discuter et a papoter ensemble. Je sais pas comment faire pour bien me rapprocher des gens (filles?) afin d'avoir des délires communs, surtout des filles à vrai dire. Avec les mecs j'arrive a en avoir naturellement parfois, avec les filles bof bof.

Pense VARSEL : voyages-animaux-relation-sport-événements-livres. Intéresse-toi à la personne, pose-lui des questions sur elle, sa vie, ses hobbies, ... Fais du circonstanciel : utilise l'environnement, ...

Conscience a écrit :Je pense a hier soir dans le bus ou ou une pote m'a dit, pour rigoler (à moitié car c'est pas faux) "tu choppes pas de filles", pourquoi est ce que j'ai rien trouvé à répondre sur le coup? Alors que la la réponse qui me vient à l' esprit en y repensant, d'un coup, est "C'est parce que je ne rencontre que des filles comme toi". Sur le coup je ne pense pas à ça, comme gêné ou autre...

Tu as peur de blesser l'autre. Dis-toi bien que tes potes ( et des inconnus ) n'hésitent pas à te vanner, alors pourquoi tu ne pourrais pas ? Tant que ce n'est pas trop agressif et que ton interlocuteur perçoit que c'est de l'humour ( sourire en coin, regard malicieux ) ça passe.

Conscience a écrit :J'ai pourtant essayé d'adopter un style je m'en fou des autres, je me fou de leur approbation etc, mais on dirait pas que ça me rend plus intéressant.

Bah ce n'est pas le but. L'objectif est de se détacher du regard de l'autre, et oser lancer des sujets " inhabituels " ( je suis sûr que tu n'oses pas aborder certains sujets de peur de paraître " louche " ).