Comment ne plus avoir peur d'aborder

Note : 16

le 27.08.2011 par Alexandre

46 réponses / Dernière par Alexandre le 28.09.2011, 00h21

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
Alexandre a écrit :Bien que je travail méditation bouddhiste, méthode sedona, méthode couet pour m'encadrer de meilleurs ressources, impossible à les appliquer à ce moment-là. J'étais complètement sous-l'emprise d'un autre état d'esprit neutre sans savoir.
Dans le cadre de la séduction?


Parfois, j'ai l'impression pour certains qu'ils jouent leur vie à aller aborder une fille. Faut arrêter de les prendre pour des golgoths ou autres créatures extraterrestres qui vont tout terrasser sur leur passage. Elles sont humaines (et bitchieldées :lol: ), elles ont des doutes comme les mecs. Au pire, quand tu les abordes, elles ne te répondront même pas et passeront leur chemin; au mieux tu auras un numéro avec une promesse de date. Dans la majeur partie des cas, tu leur auras soutirées un sourire et tu auras illuminé leur journée. Combien de fois j'entends des filles (mignonnes) être déçues des mecs qui n'ont pas les couilles devenir les aborder.
S'il fallait faire des hautes études ou des formations poussées pour aborder une nana, ça se saurait. La peur, elle existera toujours même pour les plus grands séducteurs.

Un autre article pour la route:
faites-simple-et-court-vt23365.html
:D
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] +1 le 29.08.11, 09h28 par TinkyWinky
  • [+1] Intéressant le 17.09.11, 16h41 par tibdeconne
Merci H² pour le lien vers l'article concernant le State Shifting. Les quelques sorties que j'ai pu faire seul (ou pas) ce mois-ci ont été assez terribles point de vue stress. Comme décrit dans l'article je me suis retrouvé à marcher pendant des heures, à finir tellement obnubilé par ce que je voulais faire que je zappait les nanas qui passaient.

Bref je crois que sortir dans la rue juste pour aborder fini par avoir un effet négatif sur moi dans l'état d'esprit avec lequel je le fais. Je suis effectivement dans un état lié à l'obtention d'un résultat et plus je prend de râteaux plus je me colle la pression et moins j'ai de réussite.

Un nouveau truc à travailler et intégrer pour voir si j'arrive à de meilleurs résultats ...
Heureusement Dreiev m'a donné de bonnes idées pour aller à Paris avec un but en tête autre que la sarge.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Intéressant le 18.09.11, 02h07 par Champion
Il t'a donné quoi "dreiev" comme bonnes idées ?
Ben parmi mes passe-temps on trouve le dessin ... je suis toujours à chercher des sujets intéressants pour les dessiner et comme un âne j'ai pas eu l'idée d'aller en trouver dans les musées parisiens ... ça laisse pas mal d'occasions de croiser des jolies filles.
Djudj a écrit :Les quelques sorties que j'ai pu faire seul (ou pas) ce mois-ci ont été assez terribles point de vue stress. Comme décrit dans l'article je me suis retrouvé à marcher pendant des heures, à finir tellement obnubilé par ce que je voulais faire que je zappait les nanas qui passaient.
D'où vient ce stress? Du résultat? de l'AA? De la confiance? De tout la fois? Faudrait juste que tu vois d'où peut venir le problème pour pouvoir le canaliser. Je pense aussi que faire des sessions sarge n'est pas forcément productif suivant l'état d'esprit qu'on a ou bien le(s) wing(s) qu'on a à côté. J'en ai eu connu certains tellement négatifs ou AFC que c'était impossible de créer une émulation positive et qu'il valait mieux sarger seul (d'ailleurs, c'est ce qui me réussit le mieux). Car en fait d'après-midi, on est tellement frustré, qu'on a l'impression d'avoir fait un pas en arrière.
Djudj a écrit :Bref je crois que sortir dans la rue juste pour aborder fini par avoir un effet négatif sur moi dans l'état d'esprit avec lequel je le fais. Je suis effectivement dans un état lié à l'obtention d'un résultat et plus je prend de râteaux plus je me colle la pression et moins j'ai de réussite.
J'ai cru comprendre que tu avais fait un WS avec Blusher. Et pour l'avoir vu à l'oeuvre, cela m'étonne que tu es cette attitude-là depuis. Il inculque aux participants l'amusement avec les filles en SPU (entre autres) et crois-moi, ça fait un bien fou quand tu dédramatises les râteaux ou les résultats (bien sûr, c'est cool d'en avoir à terme). Mais j'ai remarqué, que plus tu y vas sans pression, plus tu es "normal" et à l'aise dans ton attitude, plus tu dégages quelque chose de positif, plus la fille le remarque, plus il y a moyen que tu arrives à tes fins, c'es-à-dire prendre le numéro et la revoir.
Hydrogene a écrit : D'où vient ce stress? Du résultat? de l'AA? De la confiance? De tout a la fois?
Je crois que je veux du résultat, que je cherche l'approche ideale et que je me met tout seul la pression. Je retrouve le même sentiment qu'au golf lorsque je tape ma première balle sur le parcours. Je cherche le drive parfait et 9 fois sur 10 je me chie dessus. Une fois que j'ai bien merdé mon début de parcours, je me met a bien jouer... parce que je n'ai plus a chercher a faire un bon score.
Hydrogène a écrit : J'ai cru comprendre que tu avais fait un WS avec Blusher. Et pour l'avoir vu à l'oeuvre, cela m'étonne que tu es cette attitude-là depuis. Il inculque aux participants l'amusement avec les filles en SPU (entre autres) et crois-moi, ça fait un bien fou quand tu dédramatises les râteaux ou les résultats (bien sûr, c'est cool d'en avoir à terme).
Blusher explique juste ce qu'il faut faire, il nous met en condition pour ça et transmet beaucoup d'énergie. Il y a une grosse émulation dans le groupe et c'est ce qui porte tout le monde.
Oui on relativise les râteaux et ça ne me fait plus vraiment peur ... non je pense que je réfléchis trop. Si y a pas qqun pour me dire "arrête de cogiter, fonce" je me lance pas.

Comme ce que je dis plus haut le montre, j'y vais dans une optique de performance et pas d'amusement. Je suis clairement pas dans le bon état d'esprit.
Blusher n'a peut être pas insisté sur ce point, il nous a mît dans le bon état mais sans trop expliquer sa démarche. Peut être pour justement ne pas briser l'émulation... ou alors c'est moi qui n'etait pas bien réveillé.
Je vois ce que tu veux dire puisque je suis passé par là. Comme cela fait 5 ans que je connais FTS et le Game, je suis passé par pas mal d'états psychologiques et j'arrive aujourd'hui à relativiser et à ne plus me mettre de pression (ex: la fille fait caca comme toi, moi donc elle est humaine :mrgreen: ). J'essaie de vivre le moment présent et je n'ai pus en tête de trouver une nana pour me caser comme à une époque (pression de la société,...).
Fais une recherche dans les posts, FRs (archives de 2005, 2007 et 2008) et articles de Blusher, tu comprendras un peu son état d'esprit.

Sinon, je pense qu'il faut aussi s'inspirer d'Eckhart Tolle:
http://passeurs-de-lumiere.hautetfort.c ... 866870.pdf

Cela dépend des personnes mais cela reste un travail sur soi plus ou moins long.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] +1 le 29.08.11, 14h07 par TinkyWinky
Hydrogene a écrit :Je vois ce que tu veux dire puisque je suis passé par là. Comme cela fait 5 ans que je connais FTS et le Game, je suis passé par pas mal d'états psychologiques et j'arrive aujourd'hui à relativiser et à ne plus me mettre de pression (ex: la fille fait caca comme toi, moi donc elle est humaine :mrgreen: ). J'essaie de vivre le moment présent et je n'ai pus en tête de trouver une nana pour me caser comme à une époque (pression de la société,...).
Fais une recherche dans les posts, FRs (archives de 2005, 2007 et 2008) et articles de Blusher, tu comprendras un peu son état d'esprit.

Sinon, je pense qu'il faut aussi s'inspirer d'Eckhart Tolle:
http://passeurs-de-lumiere.hautetfort.c ... 866870.pdf

Cela dépend des personnes mais cela reste un travail sur soi plus ou moins long.
Je pense qu'un certain moment il faut passer pour lire Tolle pour un vrai aperçu sur tes peurs, l'ego, l’anxiété. etc.

Des livres qui vont tout changer dans ta tête.

- "mastery", george leonard
- "the power of now", echkart tolle
- "leadership and self-deception", the arbinger institut
Tolle utilise une réthorique spirituelle, et son livre ressemble a un texte bouddhiste, ce qui a d'abord rebuté l'ultra-cartésien que je suis mais au final il décrit avec ses mots ce que nous évoquons souvent ici, et dans pas mal de posts récents : le saint mojo, le lâcher prise.

Mais encore une fois, on est dans une section direct game, et la meilleure manière d'appréhender ses peurs est de s'y confronter. Surtout au début. Y a pas 36 solutions, confronter les peurs a la réalité c'est aller vérifier par soi meme si les filles sont si méchantes que ça lorsqu'on les aborde, aller vérifier si ça parait si anormal que ça d'aller les aborder dans la rue, si ça fait si mal que ça un rateau dans la rue.

On s'apperçoit bien vite que la réalité est différente, et pas mal de peurs s'envolent.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Absolument le 29.08.11, 14h28 par Hydrogene
  • [+1] +1 le 29.08.11, 15h16 par LittleNeapolis
  • [+2] Absolument le 26.09.11, 18h00 par tibdeconne
Au risque d'insister, le problème ici n'est pas tellement la peur de l'abordage en soi, mais l'état d'esprit particulier qui se met en place lorsqu'on part sarger. Ce n'est pas exactement la même chose.

Je crois que ce problème est particulier, dans la mesure où ça ne concerne pas tout le monde, ou en tout cas, pas dans la même mesure. Affaire de tempérament, je pense. Voilà pourquoi tout le monde n'arrive pas à comprendre l'état dans lequel Alexandre est plongé lorsqu'il part sarger, au point qu'il nous dise que "Les quelques sorties que j'ai pu faire seul (ou pas) ce mois-ci ont été assez terribles point de vue stress".

Voilà aussi pourquoi ce n'est pas le fait d'aborder des milliers de cibles qui règle la chose. Encore une fois, personnellement, j'ai abordé des milliers de fois, j'ai réussi de nombreux beaux coups. Je sais que je peux. Ça ne m'empêche pas d'entrer dans un état second lorsque je pars réellement en chasse, duquel j'arrive difficilement à sortir.
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