Affronter sa timidité: soigner le mal par le mal

A propos du lien qu'il y a entre la timidité et la peur du regard des autres :
Il est plus facile d'en fair abstraction dans une grande ville, car on y est toujours plus anonyme, et que les gens sont plus individualiste. C'est tout autre chose dans les petites villes. En effet, dans ces endroits, tous le monde ce connait et comme il n'y a souvent rien a fair, l'activité favorite des gens consiste justement a parlé et a ce mêlé de la vie des autres. Ainsi, il est plus difficile d'oublier son voisin, car on sait qu'il pourra très bien parler de toi a quelqu'un que tu connais.

Je suis en train d'essayer d'oublier TOTALEMENT le regard des autres (dieu que ca fait du bien), car je me suis rendu compte que la confiance en soit ce résume en faite à ca : Je me fiche de ce que tu penses de moi, car je ne suis pas toi, et que tu n'es pas moi. Ce qui compte c'est ce que MOI je pense de moi et des autres.
Cet état d'esprit peut paraitre des plus individualistes, mais il est en réalité des plus sains et des plus objectif. Pourquoi ? Parceque si on prend la peine d'y réfléchir, tout est vrai ! Vous n'êtes pas les autres et eux ne sont pas vous, c'est un fait. Ainsi, il est logique de ce préocuper de soit avant tout. Certains peuvent voir ca comme du narcissisme, moi je trouve ca réaliste. C'est comme de dire que seul le présent compte, car le passé n'existe plus et que l'avenir n'existe pas encors (merci Epicure). Certains peuvent voir ca comme un concepte phylosophique vachement élaboré, alors que ca n'est en faite qu'un simple fait objectif, qu'il serrait difficile de vraiment contester.

bonne initiative Nillen,
tu es la seule personne à plaire,
je hais ces gens qui, parlent de toi derrière le dos, et font un grand sourire fake devant toi. Ils y en a plein dans les petits villages. Leur seul souci est de regarder ce que le voisin fait, et de critiquer ça...
Pauvres gens...j'ai de la pitié pour eux parfois.

Aussi, il y a ceux qui n'arretent pas de te parler de leur vie, de leur accomplissement, combien leur vie est bien... ils veulent t'impressionner, ils adorent les compliments, et si tu leur en donnent un, ils continuent de plus en plus à se vanter. Je reste normal et leur fait comprendre que j'en ai rien à foutre de leur blabla. Ils sont en manque d'estime de soi.

La timidité est une barrière de notre subconscient.En gros, une limite à nous même.
le seul moyen de ne plus supporter cette limite, c'est de la repousser de plus en plus loin de soi, de sorte à ce qu'elle soit tellement lointaine qu'on ne la heurte plus jamais.

En gros, il faut commencer par de petit défis(pour les ados, dire bonjour le matin à qq1 à qui vous ne dites jamais bonjour par exemple)puis se fixer sans cesse des objectifs plus importants,exigeants plus d'audace(aborder votre one-itis,etc ).

Et à force de voir qu'au lieu de s'écroule(contrairement à ce qu'on avait prévu), le monde ne devenait que plus beau à chaque étape de franchie, eh bien on retrouve confiance en soi, et cette barrière ne veut plus rien dire.
On pense que ça se joue sur le long terme, mais deux semaines suffisent à retrouver une totale liberté.

Je sais, le gros prob du timide, c'est qu'il hésite avant d'y aler, il passe dans sa tête le film de ce qui se passera après l'acte; et comme il est pessimiste au possible, il ne s'imagine que totu ce qui pourrait lui arriver de mal.

mais il faut vraiment en vouloir pour rabrouer quelquun qui vous dis bonjour le matin hein

Franchement, une bonne methode pour éviter ce stress du dernier instant avant l'open est totu simplement de se focaliser sur le portrait robot que vous vous faites mentalement du "vous" idéal(on a tous un portrait comme ça dans un coin de notre tête ).

Et de toute façon.. osez, vous etes un mec!

Donaldd a écrit :En gros, il faut commencer par de petit défis(pour les ados, dire bonjour le matin à qq1 à qui vous ne dites jamais bonjour par exemple)puis se fixer sans cesse des objectifs plus importants,exigeants plus d'audace(aborder votre one-itis,etc ).

Par nature, si tu aborde "ton one-itis", t'es mort, quelque soit ton état d'esprit.
Pourquoi ? Parce qu'un gamer n'a PAS de one-itis. On a beau être le plus sur de soi possible : Agir avec un one-itis, c'est courir enjoué vers un beau lagon bleu infesté de sangsues.
Tout ca pour dire qu'on ne démarre rien en séduction, avant de s'être affranchi du moindre petit one-itis.

Quand on se libère de la moindre dépendance affective, le terrain est ouvert a toutes les belles folies.