On pourrait s'arrêter là. Je me suis déjà décarcassé à expliquer en détail
comment conclure à tous les coups
Mais cette histoire de bisou a l'air de coincer sévère.
Je vais donc détricoter tous les nœuds qui polluent votre cerveau. Je vais vous libérer de toutes les conneries héritées des films et séries télé ou (mal) lues sur internet. Toutes ces conneries dansent la polka dans votre tête, et bien comme le patron grincheux qui ferme son bistro, ces conneries je vais les virer à coups de balai!
Je vais vous tirer vers le haut. Pour ce faire,
je vais vous tirer par les cheveux, ça va vous faire mal, mais putain je vais vous tirer vers le haut, mettez-vous ça dans le crâne.
Ceci dit...
...On n'est pas rendus. Allez, au boulot!
I] Description du problème, destruction de vos croyances
A]
ça commence dans votre tête

Le problème c’est que beaucoup d’hommes sont tout simplement incapables de mettre leur visage à peu près en face du visage de la fille, et de l'embrasser. Pourquoi donc ? Why the fuck ?
Beaucoup d'hommes ont du mal à embrasser la fille qu'ils draguent parce qu'ils crèvent de peur
C’est déjà un problème en soi. Mais il y a pire.
Dites bonjour au pire :
C'est trop simple de se dire "j'ai peur, je vais devoir dépasser ma peur"
Comme c’est trop simple, les hommes qui souffrent de ce blocage cherchent à imaginer un enchaînement, une situation à mettre en place, un truc bien compliqué pour se mettre en confiance, pour oser, pour être sûrs à 100%, que sais-je. De toute façon pour embrasser une fille, les trucs compliqués n'ont que très peu de chances de marcher, et ce pour deux raisons :
1)
même en étant âgé de 50 ans, riche, célèbre, sexy, avec 2586 femmes à son tableau de chasse, on a toujours le coeur qui bat au moment d'embrasser une fille.
Francwa l’a très bien décrit ici :
francwa a écrit :Ce trac avant d’embrasser une fille est le meilleur moment du game, celui qui te procure le plus de sensations. A la fois mélange de doute, de peur, de moment de bonheur et parfois de déception... Ton cœur palpite à 100km/h.
A toi d'en profiter le plus et pas de ne voir ça comme un fossé à surmonter, mais comme un fossé à profiter le plus possible. Ce moment magique quand tu tentes de l'embrasser et que le doute subsiste...
Si vous n'arrivez pas à regarder en face cette idée toute simple, bonne chance pour vous en sortir avec ce qui ne sera rien d'autre qu'une béquille.
2)
Plus c’est compliqué, moins ça risque d'arriver.
Que ce soit clair :
Une vérité qui fait mal a écrit :pour vaincre le trac, ou pour mettre toutes les chances de votre côté (c'est pareil) ça ne marche pas de vous fabriquer des scénarios ultra-compliqués dans votre tête.
@Vénusian; pratiquant expérimenté de théâtre d'improvisation se tue à l'expliquer à longueur de topics. Mais apparemment ça ne rentre pas, et de toute façon pour les nouveaux arrivants sur ce forum il faut constamment remettre le métier sur l'ouvrage. Vous pouvez toujours le contacter par MP, lui demander de tout vous expliquer depuis le début. Faites-lui un bisou de ma part
La fille n’aidera que très rarement, mais elle ne va pas vous juger non-plus. En pratique, quand une fille veut bien d’un mec elle a souvent la trouille elle aussi. Elle hésite, elle envoie des signaux contradictoires, elle adopte des mouvements de recul et des postures fermées, etc… En gros, elle lui complique la tâche, en se disant, consciemment ou non que « de toute façon c’est à lui de se démerder » On se retrouve donc avec deux personnes qui ont la trouille. Merde alors…
Voilà comment on se complique la vie. C’est déjà compliqué de se taper
tout le cheminement de la séduction, étape par étape, mais il faut encore se rajouter un micro-cheminement homérique pour conclure l’affaire.
Petite pause culture générale :
Homère, L’odyssée, un classique qui fait mal au crâne Ou comment se faire chier comme un rat mort pour aller d’un point A à un point B.
Dans le genre odyssée dans un verre d'eau, j'ai toute une description à ce sujet dans mes cartons. Pour aller à l'essentiel, l’idée c’est que je me fous de la gueule d’une famille qui habite à Paris et qui part en vacances sur la côte d’azur. 8 heures de route, avec toutes les questions d’organisation qui vont avec, ils arrivent dans l’appartement qu’ils ont loué à prix d’or, troisième étage avec vue sur la mer, la plage est à deux pas, et là… Ils flippent leur race d’aller à la plage et se fabriquent dans leur tête tout un bazar de rituels à accomplir et de conditions favorables à respecter scrupuleusement avant d’aller à la plage. Ils n’accomplissent jamais tous les rituels, les conditions ne sont jamais toutes réunies en même temps, et ils passent tout le mois d’août sur leur balcon à regarder la plage, les yeux embués de larmes et le cœur plein d’amertume…
Trève de digressions pseudo-culturelles et de métaphores vaseuses : se dire
"bon, je crois que c'est le bon moment, je me lance et à la grâce de Dieu" c'est juste trop simple pour une chiffe molle qui chie dans son froc. Désolé.
Hein? Pas une chiffe molle, juste un garçon un peu trop romantique et timide? S'il vous plaît, ne jouez pas sur les mots, vous aggravez votre cas.
***
B]
ça continue sur internet
En matière de rituels sophistiqués, on trouve tout ce qu'il faut sur internet. En plus c'est gratuit. C'est gratuit et tout est vrai. La fête du slip. Servez-vous.
- Créer de l'intimité, se rapprocher de la fille: Vrai
- Faire un audit dans sa tête des
signes d'intérêt de la fille (IOI). Ambiance bilan comptable, avec sur une colonne le positif que vous renvoie la fille, et sur l'autre colonne le négatif: vrai
- Avoir la lucidité et la force de caractère de
croire en sa chance, malgré les signaux contradictoire que la fille vous envoie. Vrai
- Repérer l’indispensable
fenêtre de tir : vrai
- La légendaire
kino escalation est une aide précieuse: vrai
- Ce qui peut aider aussi: LA petite phrase, LE petit mouvement magique qui sera à la fois parfaitement adapté(e) au contexte, délicat(e), courageuse, élégant(e) et absolument inédit(e): vrai. ça peut aider. Comment passe-t-on de "ça peut aider" à "c'est indispensable" Moi j'appelle ça de la démence.
ATTENTION. Cette petite phrase magique, ce petit mouvement imparable que je viens d'évoquer, il est indispensable qu’il/elle soit doté(e) de trois vertus extrêmement rares et difficiles à combiner, parce que sinon ce serait (encore) trop simple. Cette petite phrase, ce petit mouvement, il faut donc:
- Qu’il ou elle ne laisse à la fille absolument aucune possibilité de réagir, de se détourner.
- Qu’il ou elle soit absolument inédite. D’une originalité foudroyante.
- Il/elle doit également vous rassurer. Hé oué, c'est vous le client. Vous êtes en train de chopper de la connaissance gratuite sur internet. Et on sait bien que le client est roi. Surtout quand c'est gratos...
...En effet, en bon consommateur averti, le lecteur ne va pas jouer sa vie sur une phrase ou un mouvement banale et/ou imparfaite. Hé, ho, il s'agit d'embrasser Cynthia hein, faut mettre les petits plats dans les grands. On est mort de trouille mais on veut ce qu'il y a de mieux. Le top qualité. Voilà qui est sage… Décortiquer de façon critique et chichiteuse toute idée d'acte positif qui pourrait se concrétiser par un baiser – peu importe que l’idée vienne d’un forum ou de sa propre imagination. L’important c’est l’illusion du contrôle. Ne rien faire de la soirée et dire au revoir poliment. Se faire des reproches à soi-même et venir chercher une solution sur un forum. L’illusion du contrôle… L'inaction, ou le contrôle à portée de toutes les bourses.
En fait ce qu'il nous faudrait c'est ça:
Les chercheurs du MIT sont sur le coup. En attendant:
Une vérité qui fait mal a écrit :Le courage n'est pas un produit de consommation - Le courage ne se trouve pas sur internet
(Ceci dit il y a des séminaires à 2000 euros les deux jours, pour les plus
désespérés désespérants motivés)
***
Excusez-moi, je vois bien que je vous dérange avec mes vérités grossièrement isolées en citations. Si vous vous reconnaissez dans ce que j'écris, la seule vérité qui vous intéresse, c'est celle-ci :
Votre amour pour la paralysie a écrit : si on s’y prend mal, si on est maladroit, la fille peut se braquer. Alors que pourtant elle était open
- C'est vrai? Oui
- Ça arrive souvent ? Non.
- Et pourtant ça vous obsède? Oui
Comment vous dire? Comment vous dire sans être vexant?
--> Vous voulez séduire la fille de vos rèves, celle qui a 35 connards qui lui tournent autour, mais vous ne voulez pas prendre le risque que ça se produise? Super.
--> Votre objectif c'est devenir un ultimate final PUA, coucher avec 5 filles par semaine, mais vous ne voulez pas non plus prendre le risque que ça se produise? Bravo.
Au cas où ça vous intéresserait, je vous répète à toutes fins utiles que
ça n'arrive que très rarement.
Ce qui arrive très souvent c’est que sur la fin d’un rendez-vous ou sur un moment à l’écart du groupe, à l’occasion d’un blanc entre deux phrases ou même pendant que la fille parle, il vous est possible de lui caresser les cheveux au niveau du front et faire glisser vos doigts le long de sa tempe, dans sa chevelure. La fraction de seconde plus tard, si la fille n’a pas viré votre main, vous l’embrassez. C'est facile et c'est possible, même pour vous.
Même pour vous ? Non, laissez tomber, c’est trop simple pour vous…
Évitez de penser à ces gamins de 14 ans qui arrivent à le faire, continuez à vous dire (et à expliquer dans le sos love)
"je n'ai pas assez confiance en moi". Revenez dans mille ans. En attendant il y a plein d'articles passionnants à lire pour apprendre tout ce qu'il faut savoir afin d'utiliser à bon escient l'audace que vous n'avez pas.
Be my guest.
En vérité, tous les hommes qui se laissent déborder par leur peur du kissclose perdent un temps fou avec des filles qui n'étaient pas forcément hostile à tout rapprochement, mais avec lesquelles ils ne tenteront jamais rien, en dépit du bon sens le plus élémentaire. Je ne parlerai même pas de dignité, franchement on n’en est plus là.
Ces hommes se disqualifient tous seuls, ils laissent la fenêtre de tir se refermer, ils se rangent sagement sur le bas-côté de la route, et l’un dans l’autre, sur un malentendu ou complètement ivre-mort en fin de soirée, les seules filles avec lesquelles ils peuvent sortir sont celles qui leur envoient des appels de phare gros comme une maison.

Des kissclose comme ça, j'en ai vécu quelques-uns, mais pas beaucoup (monde de merde...)
II] L'exemple qui tue
ce-fosse-qui-vous-separe-du-kissclose-vt31421.html
Un topic exemplaire. On y retrouve notamment la jolie citation de Francwa, une "Vénusian touch" sur l'improvisation théâtrale. Et Fyr, que j'imagine bon séducteur et pas timide pour deux sous, qui se prend les couilles dans un fauteuil en osier:
Fyr a écrit :Alors certains vont dire, kino escalation, kino escalation ! Bien sûr, faire monter la tension sexuelle, laisser parler les sens, le toucher, la musique, la lumière tamisée, les rires, l'excitation qui monte, les jeux de mains, et les corps qui se rapprochent, et soudain le baiser qui est tellement naturel, la suite logique de tout ce qui s'est passé avant.
Seulement voilà, ça n'arrive pas tout le temps comme ça. Comme cette fois où j'étais chez cette fille. On s'était éclipsé d'une soirée où on s'ennuyait, et elle m'avait invité chez elle, à boire un thé (mais bien sûr). Une excuse comme les filles savent si bien les faire qu'elles arrivent presque à se convaincre. La soirée d'avant, elle me faisait de grands sourires. Le courant passait bien, j'avais commencé à kinoter un peu comme il se devait, le résultat était forcément plié d'avance.
Arrivé chez elle, elle prépare le fameux thé, mets des bougies sur la table basse. Un ami lui envoie un texto et demande s'il peut passer, elle lui écrit "pas ce soir". Ca s'annonce bien pour mézigue.
Et soudain, alors que j'étais sur le canapé, elle s'installe dans un fauteuil. Une place. Loin. Là-bas. A cent mille lieux de moi, comme dirait Roch. On discute de choses et d'autres, discussion intéressante au demeurant, sexualisée un peu, mais la tension retombe, je kinote un peu, mais je n'arrive pas à me rapprocher vraiment, à me dépétrer. Et pourquoi du thé et pas du vin d'ailleurs ?
Je tente bien de me lever sous quelque prétexte fallacieux, de relocaliser l'action, mais la demoiselle reste de marbre, engoncée dans son fauteuil d'osier.
Bref, la bonne énergie du début est retombée. La fatigue et la lassitude me gagnent, elle baille. Aïe. Soit il est temps que je la prenne sur le tapis, soit que je m'en aille. "Bon je vais pas tarder moi". Deuxième option choisie. A ce moment-là, pas la moindre idée de comment faire la première option. Pas d'inspiration. Je décide de ne rien faire plutôt que faire ça de façon maladroite. Au revoir donc. La bise.
Une fois dehors : "quel boulet, j'aurais dû tenter quelque chose, je ne sais pas quoi, mais quelque chose". Elle voulait que je tente quelque chose. Ne m'a pas aidé, c'est sûr, mais je suis certain qu'elle voulait que quelque chose se produise.
C'est mort, j'ai loupé la fenêtre d'opportunité. Je me suis laissé avoir par un foutu fauteuil d'osier. Pourtant c'était pas la première fois que ça m'arrivait. J'arrivais à bricoler une sortie. Mais pas ce soir, il y a des soirs comme ça.
C'était le plan parfait. Tout avait été calé dans les moindre détails. A part qu'à un moment la fille s'est installée dans un fauteuil. Le drame. Quand je lis ça les bras m'en tombent. Mais ça sera peut-être, pour vous, l'exemple précieux qui va vous sortir de ces idées fausses, de tous ces rituels qu'on se construit dans la tête, juste pour caresser notre peur dans le sens du poil...
CONCLUSION (parce que j'aime pas les plans en trois parties) Encouragements à l'audace
(et à la simplicité)
Pour ceux qui n'ont pas explosé en plein vol à force de lire les liens que j'ai parsemés un peu partout, et qui ne se sont pas enfermés dans les chiottes en tremblant de peur. Cadeau:
une vérité toute simple a écrit :- Quand une fille veut bien d'un garçon il peut l'embrasser comme il veut, ça marchera
- Quand une fille ne veut pas d'un un garçon il peut l'embrasser comme il veut, ça ne marchera pas
On a vite fait d'oublier ça. A force de manœuvrer dans tous les sens parce qu'une fille, il faut la mettre en condition, ce qui demeure vrai dans l'absolu, on a tout simplement oublié qu'une fille est avant tout un être humain capable d'avoir un minimum de respect, et même du désir face à un homme qui prend son courage à deux mains.
On oublie facilement qu’au moment où on embrasse la fille, sa décision de rendre le baiser ou de repousser son prétendant provient de tout ce qu’ils ont vécu auparavant. C’est tellement plus confortable de voir la fille comme le boss de fin d’un jeu vidéo qu’il faut tomber en faisant rond, carré, triangle, triangle, demi-tour à gauche, demi-tour à droite, triangle…
Sérieux,
au moment où vous sentez qu'il faut embrasser la fille, les dés sont jetés. Embrassez-la, vous verrez bien si elle veut de vous ou pas...
Vous n'imaginez pas à quel point
quand une fille veut de vous, vous pouvez l'embrasser n'importe comment. Vous n'avez pas idée. Mais vous pouvez le découvrir par vous-même. Pour ça y'a pas moyen, vous allez devoir craquer votre short - et vous manger quelque râteaux aussi, on ne va pas se mentir.
Essayez de comprendre qu'on parle de quelque chose de très facile à la base. Essayez de mettre en perspective tout ce que vous avez lu, tout ce que vous savez ou croyez savoir sur comment embrasser une fille, la fenêtre de tir, faire monter la température en général, la kino escalation en particulier, et
le saut périlleux arrière, enjeu et perspectives.
Soyez à l’écoute de vous-même: essayez de repérer dans votre passé ou dans vos prochaines interactions ce moment d'incertitude durant lequel vous basculez dans la trouille, les
atermoiements et les constructions mentales improductives. Vous y verrez clair et vous passerez à l'action naturellement.
***
Je reviens une dernière fois sur les plans et les trucs compliqués. J'ai beaucoup tapé sur l'art de se compliquer la vie et le perfectionnisme stupide, mais la vérité est peut-être encore plus simple et plus effrayante - du moins au premier abord. La vérité c'est probablement que vous vous mentez à vous-même. Tous ces scénarios que vous essayez de visualiser, sans jamais y arriver, toutes ces situations favorables que vous attendez de tous vos vœux, que vous essayez de provoquer en vain et qui ne viennent jamais,
tout ça c'est probablement un mensonge que vous avez inventé pour vous donner une excuse à ne rien faire, pour vous donner bonne conscience.
Ce genre de choses arrive tous les jours et à tout le monde. Les gens se mentent à eux-même.
Prenez le temps d'y réfléchir, regardez en vous-même. Si vous sentez que c'est ça, ne soyez pas dur avec vous. Ce genre de choses arrive à tout le monde, et vous en apercevoir c'est déjà un grand pas vers l'avant.
Même si vous êtes timides, même si la peur vous donne envie de vomir, ayez conscience que vous êtes largement assez courageux pour regarder une fille les yeux dans les yeux et l'embrasser. Pour ça vous n'avez besoin d'aucun plan, vous avez juste besoin d'accepter les vérités que vous venez de lire, et surtout d'accepter la vérité de la réaction que la fille va avoir. Ça ira beaucoup mieux, quelle que soit cette réaction.
N'ayez pas peur de votre reflet dans les yeux d'une femme.
***
Permettez-moi de vous rappeler que je ne suis pas un super séducteur. Je suis juste quelqu’un qui a commencé à essayer d’embrasser des filles en 1990, et qui, malheureusement, a souvent dit bonsoir poliment comme un gros loser. Aujourd'hui j'ai encore du mal à faire régulièrement la lessive et le repassage, mais avec les filles ça fait un moment que j'ai arrêté de tourner en rond quand il faut y aller.
Franchement les gars, je vous veux du bien, mais quand je vois comment vous recyclez la masse indécente de connaissances sur la séduction qui est à votre disposition sur internet, juste pour vous vautrer dans votre trouille comme un porc se roule dans sa propre crasse, j’ai de la peine pour vous.
Mais vous faites comme vous voulez.
Un dernier lien pour la route, et pour le fun:
[LFG] spécial kissclose bidon
Bonne bourre